Avant sa mort le 23 juillet 1999, le roi Hassan II avait affirmé à l’ambassadeur des Etats-Unis au Maroc, Edward Gabriel, qu'il était «parvenu à un accord» avec le président Abdelaziz Bouteflika sur le dossier du Sahara. Une solution qui intervient après l’optimisme du souverain dès l’arrivée de l’actuel président algérien au pouvoir, après s’être rendu au Maroc, dans le
Mardi, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a annoncé sa démission, après plusieurs semaines de manifestations contre sa candidature à un cinquième mandat puis appelant à son départ. L’évolution de la situation va-t-elle affecter les relations avec le Maroc ? Quel impact auront ces changements sur l’Union du Maghreb arabe et le conflit du Sahara ? Les réponses du
C’est désormais officiel. L’armée algérienne a fini par lâcher Abdelaziz Bouteflika. Son vice-ministre de la Défense, Ahmed Gaïd Salah s’est prononcé ce mardi en faveur de l’application de l’article 102 de la Constitution algérienne.
Un dirigeant du Front islamique algérien pour la justice et le développement (FJD) a créé la polémique, en déclarant que l'actuel président du Conseil de la nation, la première chambre du parlement algérien, ne pourrait pas diriger le pays si l'actuel président Abdelaziz Bouteflika démissionne. Pour lui, la raison n’est autre que «la nationalité marocaine» d’Abdelkader Bensalah.