Bank Al Maghrib devrait avoir une plus large indépendance du pouvoir politique. Un avant projet de loi est déjà en place pour permettre à BAM de mener de grandes réformes et notamment le passage à un système de change plus flexible. La prochaine convertibilité du dirhams semble donc se préciser.
Suite à la baisse du taux directeur par la Banque centrale, les banques prévoiraient également d'abaisser les taux des crédits à la demande du wali Abdelatif Jouahri. C'est en tout cas ce que révèle l'hebdomadaire La Vie éco. Détails.
Bank Al Maghrib envisageait le projet en juin dernier. La banque centrale marocaine vient de le relancer en conférence de presse : le Maroc va revoir la composition de son panier de devises, dans le but d’amoindrir sa dépendance vis-à-vis de son premier partenaire économique à savoir l’UE. Si les raisons de fond d’une telle décision sont évoquées, l’économiste Najib Akesbi dénonce un «secret
La banque centrale du Maroc a décidé mardi d’abaisser son taux directeur à son plus bas historique. Une décision qui s’explique par la volonté de soutenir une croissance qui a du mal à décoller et encourager les entreprises «un peu attentistes» à reprendre leurs activités à travers la facilitation des conditions d’octroi de crédit.
Après une année 2013 assez tendue, l’année 2014 s'annonce sous de meilleurs auspices, sur le plan économique au Maroc, à en croire en tout cas la Banque centrale du royaume. Bank Al Maghrib évoque, entre autres, une réduction certaine du déficit public. Détails.
C’est une sortie médiatique hors pair qu’a faite, ce vendredi, le ministre des Affaires générales et de la gouvernance, Mohamed El Ouafa. Sur les ondes de Radio Aswat, il a qualifié de «faux» les chiffres présentés par le Haut-Commissariat au plan (HCP) sur les prévisions de croissance 2014. Pour lui, il ne faut se fier qu’au ministère des Finances. Cependant, pourquoi s’en prendre seulement au HCP quand
Après plusieurs reports et de long mois d’attente, le gouvernement examine enfin, le projet de loi des banques islamiques. Un premier pas qui nécessite, encore, le feu vert du parlement avant d’être publié au Bulletin officiel.
Il sera extrêmement difficile pour le Maroc d'aller plus loin, sur le plan économique et social, s'il ne réforme pas au plutôt sa caisse de compensation. C’est ce qu’on peut retenir du dernier rapport du Conseil économique, social et environnemental (CESE), présenté mercredi au roi Mohammed VI. L’institution n’est pas la première a insister sur l’urgence de la réforme. Mais celle-ci, pourtant