Le rapport d’autopsie sur la mort réalisée sur le spéléologue espagnol José Antonio Martinez a été dévoilé hier, jeudi 2 juillet. Une fois de plus le Maroc est pointé du doigt, accusé de «négligence».
La crainte d’un changement dans les relations maroco-espagnoles a été évoquée ces derniers jours dans la pesse en raison notamment de la volonté du juge Pablo Ruz de poursuivre de hauts responsables marocains pour un présumé génocide au Sahara. Mais malgré cet épineux dossier, combiné à celui de la récente mort des deux spéléologues au Maroc, les relations entre Rabat et Madrid
L’accident des spéléologues espagnoles au Maroc continue de faire parler en Espagne. Le seul rescapé Juan Bolivar est revenu sur le drame, non sans critiquer l’opération de sauvetage de la gendarmerie marocaine. Une nouvelle fois, Rabat se retrouve au banc des accusés.
La mort de deux spéléologues espagnols tombés au fond d’un ravin dans l’Atlas marocain fait réagir Juan Antonio Rengel, qui faisait partie du groupe de neuf personnes en mission dans cette zone montagneuse. Selon Rengel, qui s’est confié sur Telecinco, «le Maroc n’avait pas d’hélicoptère adéquat pour l’opération de sauvetage». Plusieurs autres spéléologues