Dans un feuilleton judiciaire commencé en 2015 au Maroc et arrivé désormais aux Etats-Unis, la fermeture des raffineries la Samir serait arbitraire, selon le groupe qui en avait le contrôle. Coral, actionnaire majoritaire, devrait perçevoir l’équivalent de 14 milliards de dirhams.
Mohamed El Krimi, syndic judiciaire de la Samir désigné par le Tribunal de Commerce de Casablanca veut croire que l’unique raffinerie nationale est encore viable. Mais le Maroc doit-il conserver coûte que coûte une raffinerie pour des raisons stratégiques, même si elle n’est pas rentable ?