Dans son rapport sur la situation des droits humains au Maroc, le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) a soulevé la question de l’effectivité des lois mises en place, notamment en termes de protection des droits fondamentaux. Soulignant l’émergence de préoccupations nouvelles, il a par ailleurs insisté sur l’abolition de la peine de mort et la réforme du Code de la famille.
Le Conseil Supérieur de l’Education, de la Formation et de la Recherche Scientifique a livré les résultats de sa 13ème session.
Plusieurs activistes des minorités religieuses ont annoncé la tenue, samedi 18 novembre à Rabat, d’un congrès national pour débattre de la situation de ces minorités au Maroc. Le thème abordé sera «Liberté de conscience et de croyance, entre polémique de la reconnaissance et recherche de coexistence». Pour en savoir plus, Yabiladi a contacté Jaouad El Hamidy, président du Comité marocain
A la veille de la présentation, par le Maroc, de ses réponses officielles aux recommandations du Conseil national des droits de l’homme des Nations unies, les premières réactions commencent à tomber. Ce mercredi, Al Karama Foundation, basée à Genève, exprime son inquiétude.
Ce jeudi, Mustapha Ramid, ministre d’Etat chargé des droits de l’homme, se rendra à Genève. Il présentera officiellement les réponses du gouvernement du Maroc aux recommandations formulées par le Conseil des droits de l’homme des Nations unies. Au total, 44 recommandations ont été refusées, totalement ou partiellement par le royaume. Détails.