Les femmes peinent à obtenir un financement pérenne, condition sine qua non pour pouvoir lancer son entreprise. Un paradoxe alors qu’elles sont pourtant jugées plus solvables que les hommes, car réputées plus sérieuses.
Dans son avis sur «le foncier au Maroc», rendu public ce mercredi, le CESE souligne l’importance d’une réforme nécessaire de ce domaine et d’une transparence plus grande au niveau de l’information foncière. Il appelle aussi à l’amendement de l’article 2 du Code des droits réels, surnommé l’«article spoliateur».
Ce composé polyatomique, responsable de la pollution des eaux, affecte surtout les nourrissons en raison de l’immaturité de leur système digestif. Au Maroc, la situation est connue depuis longtemps.