Phénomène émergent ou épiphénomène, selon l’avis des uns et des autres, la bi-nationalité a dû mal à exister au Maroc ? Etre né dans un pays autre que celui du Royaume, de père marocain (et de mère selon les modifications apportées au code de la nationalité) ou avoir acquis la nationalité française, par exemple, en cours de parcours de vie (études supérieures, union,…) permet à tout à chacun d’obtenir le statut de bi-national.
Le rêve d'enfant de Latifa Zoubir était d'être une française comme les autres, tout simplement. Un rêve qui a été entretenu par ses parents d'origine marocaine qui lui ont tout donné pour qu'elle devienne une bonne française. Comme chaque fois après un rêve, le réveil est désagréable voire douloureux. C'est ce qui arrivera à la jeune Latifa devenue adulte et confrontée à la réalité sociale du modèle d'intégration français. Un modèle qu'elle juge aujourd'hui « hypocrite
Il mesure 1.85 mètres et pèse 95 kilos. Il s'appelle Mohamed Boussalem et il est acteur cascadeur professionnel au Maroc depuis 2000. A 27 ans seulement, il est ceinture noire, 2eme dan en karaté , 1er dan en Aikido et 1er dan en Full Contact et kick boxing. Il est également titulaire d’un diplôme d’arts martiaux obtenu à Bankok en Thaïlande. Mohamed Boussalem apparaît souvent dans les publicités, la dernière en date est celle de l'opérateur Méditel. Interview avec ce cascadeur
«Au Maroc, avant de pénétrer au sein d’un foyer familial, on quitte ses chaussures. On ne rentre pas chez les gens sans respecter le lieu», indique Lahcen Daoudi, vice-président du Parti Justice et Développement (PJD). Un propos «sur mesure» en réaction à l’annonce de l’ouverture d’une antenne de l’association « Ni Putes Ni Soumises» (NPNS) au Maroc.
Acteur français d'origine marocaine, Saïd Taghmaoui tournera cette année dans la saison 5 de la série télévisée « Lost » où il incarnera un personnage clé du nom de César. Retour sur le parcours d'un homme qui aspirait à une carrière sur les rings.
La société marocaine accepte difficilement les enfants hors mariages. De ce fait les mères célibataires sont vues comme des parias non seulement par leur famille mais aussi dans le reste du quartier. Un centre d'accueil basé à Casablanca créé par Aicha Ech-Chana s'occupe de ces femmes dans le but de les donner un nouveau départ dans leur existence. Khadija Noha, est une pensionnaire de ce centre, voici son histoire.
Lotfi Chelbat, organisateur du Salon de l’immobilier Marocain à Bruxelles (SMAB XL), présente l’édition 2009 qui se déroulera les 13, 14 et 15 février 2009. C’est la région de l’Oriental, terre d’origine de nombreux MRE résident en Belgique, aux Pays-bas ou encore au nord de la France, qui sera à l’honneur. Selon Lotfi Chelbat, la crise financière a des effets «positifs» sur
Le secteur du crédit et notamment le crédit immobilier a explosé ces dernières années avec le boom de l’immobilier et l’assouplissement des conditions d’octroi pour les emprunts. Signe d’une structuration et d’une maturation croissante, CAFPI, le numéro 1 du courtage en crédit en France a créé une filiale au Maroc. Après 6 mois d’activité dans la capitale économique, Julien
Selon les estimations, il y aurait des milliers de femmes et d’hommes sans état civil au Maroc. Une situation qui a des conséquences dramatiques et parfois tragiques. Si l’Etat s’est engagé à procéder à une grande opération de régularisation massive d’alliances non déclarées avec comme échéance le 05 février 2009, il n’en reste pas moins que l’urgence «urge».
«Je suis en âge de construire une vie de famille, mais j’ai du mal à m’engager», déclare Hassan, 31 ans, chef d’entreprise à Casablanca. Cette situation, Hassan, n’est pas le seul à la vivre. Ils sont nombreux, très nombreux, à appréhender la vie de couple.