Pour annoncer son projet de diffuser ses vidéos sur YouTube face au boycott dont il dit être victime de la part des responsables de télévisions marocaines, Said Naciri mélange les pinceaux. Du politologue critiquant les cahiers des charges et le gouvernement Benkirane, il se transforme en humoriste, religieux pour tantôt critiquer ou dénoncer, tantôt tenter de convaincre.
Au Maroc, la condamnation récente de l’association Racines à la dissolution a porté un coup au secteur culturel et artistique, déjà fragilisé par un manque d’investissement, aussi bien matériel que financier.