Mustapha Benhamza a rappelé jeudi l’«inexistence d’un texte international en matière de l’héritage» avant d’estimer qu’il préfère «un dialogue sociétal» sur la parité en matière d’héritage. Pour lui, «l’héritage n’est pas une entreprise commerciale» et toute «application stricte» comprend aussi des inconvénients.