Désolé, rien à dire si ce n'est que nous sommes , nous les Marocains, des gens tres sales, à la limite du dégueulasse.
Pas d'excuses pour nous les Arabes, nous sommes et resterons un peuple de po...Suite urris et de mousskhrines Preuve à l'appuie. Autant le riche que le pauvre, nous sommes et resterons des gens sales, qui aimons tous jeter par terre, aimons porter les même chaussettes 1 semaines durant. jugez par vous même avec un membre de votre propre famille !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!. Nous avons et resterons des gens qui puent avec une défaillance intellectuelle énorme que la télévision ne saurais nous éduquer ou réparer
Un homme suspecté de vouloir accomplir un homicide, choisit pour le mettre à exécution le moment où la police entre chez lui. C’est ce qu’aurait fait le président Assad, en dégainant l’att...Suite aque chimique au moment où les inspecteurs de l’ONU arrivent pour effectuer leur enquête sur l’utilisation d’armes chimiques en Syrie. Les « preuves » ont été exhibées par les « rebelles », dont le centre de propagande à Istanbul, organisé par le Département d’Etat étasunien, confectionne les vidéos fournies aux médias mondiaux. Ayant désormais « bien peu de doutes » que c’est Assad le coupable et jugeant « tardive pour être crédible » l’enquête ONU, le président Obama est en train d’évaluer une « riposte » analogue à celle du Kosovo, c’est-à-dire à la guerre aérienne lancée sans mandat ONU par l’OTAN en 1999 contre la Yougoslavie, accusée de « purification ethnique » au Kosovo. A cette fin, le Pentagone a convoqué en Jordanie, les 25-27 août, les chefs d’état-major de Canada, Grande-Bretagne, France, Allemagne, Italie, Turquie, Arabie Saoudite et Qatar. En Jordanie les USA ont déployé des chasseurs bombardiers F-16, des missiles terre-air Patriot et environ un millier de militaires qui entraînent des groupes armés pour la « guerre couverte » en Syrie. Selon des informations recueillies par Le Figaro, un contingent de 300 hommes, « sans doute épaulé par des commandos israéliens », a été infiltré en Syrie depuis la Jordanie le 17 août, suivi par un autre deux jours après. Ils s’ajoutent à ceux, nombreux, déjà entraînés en Turquie. En majorité des non Syriens, provenant d’Afghanistan, Bosnie, Tchétchénie, Libye et autres pays, appartenant en général à des groupes islamistes dont certains sont classés terroristes à Washington.
Approvisionnés en armes, provenant notamment de Croatie, par un réseau international organisé par la Cia. Sous la chape de la « guerre couverte » rien de plus facile que de doter quelques groupes de têtes chimiques, à lancer avec des fusées sur des civils pour ensuite filmer le massacre en l’attribuant aux forces gouvernementales. On crée ainsi le casus belli qui justifie une escalade ultérieure, jusqu’à la guerre aérienne, étant donné que la guerre menée à l’intérieur n’arrive pas à faire tomber l’état syrien. Cette option, motivée par l’imposition d’une « no-fly zone », prévoit un lancement massif de missiles cruise, plus de 70 dans la première nuit, joint à des vagues d’avions qui larguent des bombes à guidage satellitaire en restant hors de l’espace aérien syrien.
Les préparatifs ont commencé non pas après, mais avant la présumée attaque chimique. En juillet a été déployé le groupe d’attaque du porte-avions étasunien Harry Truman, comprenant deux croiseurs et deux contre-torpilleurs lance-missiles ayant à bord des unités des marines, qui opère dans les aires de la Sixième et de la Cinquième Flotte. Un autre contre-torpilleur lance-missiles, le Mahan, au lieu de rentrer à son port d’attache en Virginie, est resté en Méditerranée aux ordres de la Sixième Flotte. La U.S. Navy a ainsi à elle seule déjà positionné cinq unités navales, plus quelques sous-marins, en mesure de lancer sur la Syrie des centaines de missiles cruise. Les chasseurs-bombardiers sont prêts à décoller aussi des bases en Italie et au moyen-Orient. Aux forces aéronavales étasuniennes se joindraient, toujours sous commandement du Pentagone, celles des participants à la réunion en Jordanie (Italie comprise) et d’autres pays. La Syrie dispose cependant d’un potentiel militaire que n’avaient pas la Yougoslavie et la Libye, dont plus de 600 installations anti-aériennes et des missiles de portée allant jusqu’à 300Kms. La guerre s’étendrait au Liban et à d’autres pays moyen-orientaux, déjà impliqués, et compliquerait ultérieurement les rapports de Washington avec Moscou.
Dix ans après l’Irak, la Syrie est à son tour, en cet été 2013, la cible d’une offensive du camp atlantiste avec la caution des pétromonarchies du Golfe, scellant dans le sang et la destructi...Suite on l’ahurissante mutation du dialogue euro-arabe en partenariat militaire islamo atlantiste contre des pays arabes séculiers.
En dix ans, outre les deux pays baasistes, L'Irak et la Syrie, la Libye a été détruite par une coalition des anciennes puissances coloniales occidentales et leurs obligés monarchiques arabes; le Soudan démantelé au mépris du principe de l’intangibilité des frontières héritées du colonialisme, aménageant une double plateforme opérationnelle israélienne aux deux extrémités du Monde arabe, au Sud Soudan, sur la versant africain du Monde arabe, dans le périmètre du Nil, la veine jugulaire de l’Egypte, au Kurdistan irakien, à la charnière de l’Irak et de l’Iran.
Les criminels de guerre de Washington et d’autres capitales occidentales sont déterminés à maintenir leur mensonge selon lequel le gouvernement syrien a utilisé des armes chimiques. Ayant échoué dans les efforts visant à intimider les inspecteurs d’armes chimiques de l’ONU en Syrie, Washington a exigé que le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon retire ces inspecteurs avant qu’ils puissent évaluer la preuve et faire leur rapport. Le Secrétaire général de l’ONU s’est élevé contre les criminels de guerre de Washington et a rejeté leur demande. Cependant, comme avec l’Irak, la décision de Washington de commettre une agression contre la Syrie ne se fonde pas sur des faits.http://rt.com/op-edge/syria-un-war-investigation-006/
Les gouvernements américain et britannique n’ont révélé aucune des «preuves concluantes» qu’ils prétendent avoir démontrant que le gouvernement syrien a utilisé des armes chimiques. En écoutant leurs voix, en observant leur langage corporel, et en les regardant dans les yeux, il est tout à fait évident que John Kerry et ses marionnettes britanniques et allemandes mentent de manière éhontée. C’est une situation bien plus honteuse que les énormes mensonges que l’ancien Secrétaire d’Etat Colin Powell a commis à l’ONU sur les armes irakiennes de destruction massive. Colin Powell affirme qu’il a été trompé par la Maison Blanche et ne savait pas qu’il mentait. Kerry et les marionnettes britanniques, françaises et allemandes savent très bien qu’ils mentent.
Le visage que l’Occident présente au monde est celui d’un menteur impudent.
Le journal britannique The Independant a rapporté qu’au cours du dernier week-end, Obama, Cameron et Hollande ont convenu de lancer des attaques de missiles de croisière contre le gouvernement syrien dans les deux semaines à venir, malgré l’absence de toute autorisation de l’ONU et malgré l’absence de tout élément de preuve en faveur des allégations de Washington selon lesquelles le gouvernement syrien a utilisé des armes chimiques contre « ses rebelles » largement soutenus par les forces extérieures américaines, cherchant à renverser le gouvernement syrien.
En effet, une des raisons de la course à la guerre est d’empêcher l’inspection de l’ONU dont Washington sait qu’elle pourrait réfuter ses allégations et éventuellement l’impliquer dans l’attaque sous faux drapeau effectuée par les «rebelles», qui ont réuni un grand nombre d’enfants dans un endroit pour y être assassinés chimiquement pour ensuite en coller la responsabilité au gouvernement syrien.
Une autre raison de la course à la guerre, c’est que Cameron, le Premier ministre britannique, veut précipiter la guerre avant que le Parlement britannique ne puisse le bloquer et l’empêcher de fournir une couverture pour les crimes de guerre d’Obama, de la même manière que Tony Blair avait assuré la couverture de George W. Bush, ce dont il a été dûment récompensé. Qu’est-ce qu’il en a à faire, Cameron, de la vie des syriens quand il peut quitter ses fonctions avec une fortune de 50 millions $ qui l’attendent à bras ouverts ?
http://www.independent.co.uk/news/world/middle-east/syria-un-weapons-inspectors-attacked-as-they-try-to-enter-poison-gas-attack-site-8784435.html
Le gouvernement syrien, sachant qu’il n’est pas responsable de l’incident des armes chimiques, a accepté que l’ONU envoie des inspecteurs d’armes chimiques pour déterminer la substance et le vecteur utilisés. Cependant, Washington a déclaré qu’il était «trop tard» pour les inspecteurs de l’ONU et accepte la déclaration intéressée des “rebelles” affiliés à Al-Qaïda accusant le gouvernement syrien d’avoir attaqué des civils avec des produits chimiques.http://news.antiwar.com/2013/08/25/obama-administration-accepts-rebels-account-on-syria-prepares-for-war/ . Voir aussihttp://news.antiwar.com/2013/08/25/syria-accepts-un-inspectors-us-spurns-call-as-too-late/
Dans une tentative pour empêcher les inspecteurs de produits chimiques des Nations Unies qui sont arrivés sur place de faire leur travail, ces derniers ont essuyé des tirs de snipers sur le territoire détenu par les ”rebelles” et ont été forcés de quitter le site ; mais un rapport ultérieur de RT affirme qu’ils sont retournés sur le site pour effectuer leur inspection. http://rt.com/news/un-chemical-oservers-shot-000/
Le gouvernement britannique corrompu a déclaré que la Syrie peut être attaquée sans autorisation de l’ONU, tout comme la Serbie et la Libye ont été attaqués militairement sans autorisation de l’ONU. En d’autres termes, les démocraties occidentales ont déjà établi des précédents pour violer le droit international. « Le droit international? Nous n’avons pas besoin de droit international puant » L’Occident ne connaît qu’une seule règle: la Force prime le Droit. Tant que l’Occident a la Force, l’Occident a le Droit.
Dans une réponse à l’information que les États-Unis, le Royaume-Uni et la France se préparent à attaquer la Syrie, le ministre russe des Affaires étrangères, M. Lavrov, a déclaré qu’une telle action unilatérale est une «violation grave du droit international», et que la violation n’était pas seulement d’ordre juridique, mais aussi une violation de l’éthique et de morale. Lavrov a évoqué les mensonges et la tromperie utilisés par l’Occident pour justifier ses violations graves du droit international dans les attaques militaires contre la Serbie, l’Irak et la Libye et la façon dont le gouvernement américain a utilisé d’actions préventives pour saper tout espoir pour un règlement pacifique en Irak, en Libye et en Syrie.
Une fois de plus, Washington a anticipé pour saper tout espoir de règlement pacifique. En annonçant la prochaine attaque, les Etats-Unis ont détruit toute incitation pour les «rebelles» à participer aux pourparlers de paix avec le gouvernement syrien. Au moment où ces pourparlers allaient avoir lieu, les «rebelles» n’ont désormais plus aucune incitation à y participer, puisque les militaires de l’Occident viennent à leur secours.
Dans sa conférence de presse, M. Lavrov a parlé de la façon dont les partis au pouvoir aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en France attisent les émotions chez les gens mal informés qui, une fois chauffés, trouveraient satisfaction dans la guerre. Ceci, bien sûr, est le moyen par lequel les Etats-Unis ont manipulé le public pour attaquer l’Afghanistan et l’Irak. Mais le public américain est fatigué de la guerre, dont le but n’est jamais établi clairement, et sa suspicion augmente de jour en jour au sujet des justifications du gouvernement pour encore plus de guerres.
Le Maroc, ce pays éternellement prometteur. Ce pays qui soigne son image à l’international mais qui ne se soucie pas de l’image qu’il donne à ses propres enfants. Ces enfants qui sont arrivé...Suite s à un tel stade de saturation qu’il n’attendent plus grand-chose de ce pays.
Quand on examine bien la société Marocaine, quand on essaie de l’analyser dans l’espoir de sortir avec une réponse à la question : « qu’est ce qu’un Marocain ? » on trouve que cette question se révèle être digne des plus grandes questions métaphysiques. Qui sommes-nous ? Que voulons-nous ? Où allons-nous ? Autant de questions qui restent sans apparente réponse.
Essayons d’entrer dans les détails des références idéologiques et religieuses de ce pays pour tenter d’avoir un élément de réponse.
Le Maroc se dit être un pays musulman. Mais au-delà des quelques véritables pratiquants, le Maroc donne l’air de tout sauf d’un pays religieux, avec tout ce que ce terme a comme sens au niveau comportemental et spirituel. Il suffit pour cela de faire un petit tour dans les rues des différentes villes pour en arriver à ce constat. Vous verrez un homme méprisant, nourrit de la culture du prestige, en train d’insulter un petit enfant de la rue trop collant (sans qu’il ne se demande pourquoi cet enfant est à la rue ). Vous verrez des jeunes filles loin d’être majeure sortir de la voiture d’un vieux monsieur venant d’assouvir son appétit animalier. Si vous assistez à une des soirée de l’élite de demain, ceux qu’on appelle les ingénieurs, vous trouverez tout type de débauche imaginable. Un bon religieux est quelqu’un de propre, et dans sa tête et dans son environnement, mais je ne vous apprend sûrement rien quand je vous dis que l’état des villes est lamentable, avec les poubelles débordantes, les murs sales, les trottoirs poussiéreux, les gens qui jettent les déchets sur les allées sans éprouver le moindre remord. Beaucoup de pays non déclarés officiellement comme religieux sont plus religieux que nous sur ce point là. Pour ce qui est de la propreté mentale, on peut dire que les évènements du 20 février ont bien mis à nu le niveau de l’argumentation Marocaine composée à 90% d’attaques personnelles et d’insultes. Pour ce qui est de l’éthique générale, des dirigeants, des forces de l’ordre, des éducateurs, des professeurs, le niveau est bien bas. Comportements non civilisés, débauche, morale douteuse, voilà le Maroc musulman. Faire cinq prières par jour n’est qu’un exercice physique dans ces conditions là. Etre religieux ou spirituel c’est un tout, et rituel n’équivaut pas à spirituel. Sommes-nous pour autant prêt à accepter un Maroc laïque ? loin de là. La schizophrénie général veut qu’on défende becs et ongles ce qu’on n’est même pas au fond mais que l’on croit qu’on est.
Passons maintenant à la référence temporelle et identitaire. Le Maroc dit posséder des millénaires d’Histoire et 12 siècles de civilisation. Mais en quoi cela se manifeste en 2011 ? L’aliénation n’a jamais été aussi grande, la schizophrénie n’a jamais été aussi prononcée et l’inculture n’a jamais été aussi apparente. Le Marocain ne sait plus où donner de la tête. Est-il Arabe ? Est-il Amazigh ? Est-il occidental ? Est-il Khaliji ? En quoi consiste l’héritage culturel Marocain ? Que retenons nous de notre histoire ? comment vivons-nous nos traditions ? Nous possédons certes un des plus bel héritage artisanal au monde et une architecture qui fût grandiose à son époque. Mais ceci est de plus en plus négligé. Voyez par exemple l’architecture du prochain théâtre de Rabat. Un lieu de culture qui ne représente en rien la culture Marocaine. 1,35 milliards de Dirhams pour du déconstructivisme (Théâtre de Rabat). Ce n’est pas que ce n’est pas intéressant d’avoir ce genre d’architecture chez nous, mais cela aurait été tellement plus intéressant de profiter d’un tel investissement pour moderniser notre patrimoine qui est condamné à n’être confiné que dans les lieux de luxes, ou à des bâtiments rongés par le temps. Si l’on n’insuffle pas de la modernité dans notre patrimoine, il est condamné à s’essouffler et de fait il sera de plus en plus négligé. Cet essoufflement fait que maintenant, notre culture se transforme en folklore. La culture est censée être un mode de vie, une manière d’être au quotidien. Mais non, nous ne vivons plus la culture que durant les fêtes ou quand il s’agit de divertir les touristes. Le Marocain devient le bouffon de l’étranger quitte à en perdre sa dignité.
Maintenant, nous confondons modernité et occidentalisation à une époque où l’occident lui-même spécule sur sa propre décadence. Nous sommes là à sans cesse vouloir imiter l’occident. Seul problème, c’est qu’on essaie de l’imiter à travers le prisme des médias. Ce qui est une forte erreur. Les médias ont pour rôle de divertir, et de ce fait nous imitons ce qui n’est au fond que leur divertissement, et en même temps nous pensons que c’est cela être moderne parcequ’on nous le répète sans cesse à travers la propagande publicitaire. Il est donc intéressant de noter sur ce point que le Marocain s’occidentalise au niveau de la débauche et dans les choses superficielles, mais pas dans ce qui est de l’ordre de la formation de l’Homme civilisé. Pas que j’adhère forcément à la pensée occidentale dans ses détails, mais l’esprit et la rigueur sont louables. Mais ce phénomène est compréhensible dans la mesure où le pays manque sérieusement de figure emblématique et d’exemple pour la jeunesse. Où sont nos penseurs ? nos intellectuels ? où sont nos prix nobel ? où sont nos sportifs ? A qui ou à quoi le Marocain peut-il s’identifier ? L’élite Marocaine se résumant trop souvent dans l’esprit du Marocain en deux mots : voleurs et corrompus. Au niveau des programmes d’éducation, on ne met pas suffisamment l’accent sur les grands noms de l’Histoire Marocaine, ou au moins les penseurs et les savant Arabo-musulmans. Eh bien non, nos cours de philosophie ont pour référence des Descartes au lieu de Ibn Khaldoun. Demandez à un Marocain de lui citer des grands noms toute époques confondues, Ils se compteront sûrement sur les doigts de la main, demandez lui ensuite de vous citer des grands noms occidentaux du 20ème siècle, là les noms fuseront de toute part. Le pire c’est quand on voit que le résultat est similaire lorsqu’il s’agit de citer des contemporains. Des noms Marocains qui percent, on en parle rarement.
Pour ce qui est des détails historique, nous avons une Histoire floue. En effet, nous savons mieux le mode de vie des européens à l’époque médiévale que celui des Marocains à la même époque. Le mérite qu’ont les occidentaux dans cela se trouve dans leur matraquage médiatique. Leur culture est cuisinée dans les médias à toute les sauces et est toujours présentée de manière héroïque. Séries, films, dessins animés, musique, jeux vidéos… tout y passe, ils savent vraiment quoi faire de leur culture. D’ailleurs dans cette même catégorie, les Japonais excellent aussi. A tel point que vous trouverez des Marocains qui ne jurent que par le Japon, alors qu’ils n’en connaissent pas grand-chose de plus que des mangas, des jeux vidéos ou des reportages présentant ce peuple comme les hôtes d’une fourmilière géante. Certains seraient prêts à tout laisser pour aller y vivre. Ceux là sont ceux à qui on a vendu du rêves et à qui on a oublié de dire qu’une fois au Japon, il faudra du travail, chercher à manger, acheter des fève à 10 dh la gousse de trois graines (ayah lefwilat temma 10 dh 3 dyal 7ebbat, bi ma3na tebsil dyal bissara mo7al wach i koun b jouj drahem :D). Tout ça pour dire que nos repères identitaires sont très confus.
De ce fait, vu que nous ne donnons pas grande valeur à notre passé, ni à notre présent, vu que nous n’avons pas grande référence idéologique, religieuse, temporelle, comment pouvons-nous espérer constituer une conscience collective ? Comme on le dit classiquement, si nous ne savons pas d’où nous venons, comment peut-on savoir où nous allons ? Somme nous condamnés à éternellement singer ce que font les autres ? sommes-nous condamnés à sans cesse nous inspirer et à ne jamais inspirer ? pourquoi voulons-nous toujours être les bons élèves de l’étranger ? pourquoi voulons-nous être bien vu à leurs yeux quitte à négliger nos propres enfants, nos propres personnes ? Pouvons-nous être au devant de la scène internationale ? ou le voulons-nous ? Pouvez-vous dire à un Marocain que vous rêvez d’un Maroc qui inspire le monde sans qu’on vous rie à la figure ? Sommes-nous obligé de nous prostitué à la cause étrangère pour espérer survivre ? Si le moindre bout de tradition qui nous caractérise est nommé rétrograde, alors autant jeter toute notre histoire à la poubelle. Si le but est de devenir occidentaux dans le fond et dans la forme, alors au diable toute ces luttes pour la dignité, puisque la pire des humiliation est de ne plus accepter ce qui nous caractérise et de vouloir devenir comme le sont les autres ou comme les autres voudraient que l'on soit.
Mais à qui la faute ? au colonialisme ? Il a joué un rôle dans notre décadence, certes, mais n’est ce pas là une excuse trop facile pour justifier notre éternelle passivité ? Le monde regorge d’exemples qui montrent que la réussite est possible même avec peu de moyens (même s’il est trompeur de croire que le Maroc a peu de moyens).
Normalement ce qui transcende un pays, ce qui lui montre le chemin, ce sont ses penseurs, son élite, mais surtout son dirigeant. On ne l’appelle pas dirigeant pour rien. Il a pour rôle de faire sortir le peuple de l’aliénation, de lui montrer le chemin, puisqu’il est sa première référence. Un dirigeant qui s’éloigne du peuple et qui ne lui parle que rarement crée un conflit entre lui et ce dit peuple. Le peuple se sent négligé, méprisé. Nos dirigeants gagneraient donc à être de meilleurs représentants de la culture et de l’Histoire Marocaines dans les faits et pas seulement sur papier.
La solution des problèmes fondamentaux du Maroc ne sont donc pas dans la démocratisation aveugle ou dans l’individualisation de la société. La priorité n’est pas là. Ce pays est trop corrompu, la dent a été gâtée jusqu’aux nerfs. Il faut une réforme profonde des mentalités. Et pour cela il faudrait retrouver nos repères identitaires, sinon nous ne ferons que singer sans cesse les autres à défaut de référence. Il faut une réformes radicale de l’éducation. Il faut que les médias se trouvent un autre rôle que celui de l’abêtissement du peuple. Parceque à la longue, à défaut de l’abêtir, ils l’aliènent, ce qui revient fondamentalement à la même chose, puisque se crée de ce fait une schizophrénie qui crée un climat de tension au niveau de toute une population : Mépris, paternalisme, fermeture d’esprit, immunité contre toute amélioration, ou substitution radicale du mode de pensée et du mode de vie.
Au lieu de répéter sans cesse des termes dont nous ne mesurons pas la portée comme ceux de monarchie parlementaire, de république, libertés individuelles. De une ceci ne résoudra pas les problèmes de fond cités précédemment, secundo ces termes là découlent justement de ces problèmes de fond, vu que lorsqu’on demande en quoi ces modèles pourraient nous réussir, on nous répond que « puisque ça marche ailleurs, ça devrait marcher chez nous ». Vous n’êtes sûrement pas sans savoir que la plupart des démocraties du monde sont dirigées par une oligarchie technocratique et économique, la démocratie n’étant que de la poudre aux yeux visant à donner un sentiment de satisfaction au peuple en lui faisant croire qu’il a un certain pouvoir sur les affaires de son pays. Il est clair qu’il faut nuancer ces propos mais il est certain que la véritable démocratie reste à inventer. Alors avant d’en arriver à discuter ces questions, essayons de résoudre ce qui a pourri nos pays jusqu’à la moelle. Avant de soigner la façade, mettons de l’ordre et de la propreté à l’intérieur.
Texte signé: Amine B.
Je trouve le texte criant de vérités
Ton commentaire et la preuve de ton ignorance, ton manque de tact, de recul, abrutis au sucre et à la télévision. Voilà ce que ton commentaire laisse transparaître.
Les haineux, DEHORS !!!!!!!
S...Suite igné:
Un Marocain humain et ouvert.
Il faut « répondre aux armes par les armes ». En martelant cette mâle sentence en marge du sommet européen, celui qui fut le lointain successeur de Jaurès à la tête du Parti socialiste, et qui...Suite préside désormais la République française, a peut-être accru ses chances de décrocher le prochain Prix Nobel de la paix. A moins qu’il ne lui faille le partager avec les combattants qui ont juré la perte du président syrien, dont l’un des derniers faits d’armes est un attentat dans une mosquée de Damas – une cinquantaine morts, des centaines de blessés.
François Hollande plaidait ainsi pour que soient levées les dernières restrictions à la livraison d’armes lourdes à l’opposition armée. Il s’agirait d’un nouveau cran dans l’escalade qui a vu, depuis deux ans, le camp occidental s’engager de plus en plus ouvertement pour le renversement d’un gouvernement certainement pas moins légitime que tous ceux des pays de la région. Ce point est capital : quelques semaines seulement après le début des manifestations d’opposants, et donc bien avant les drames actuels, Hillary Clinton, suivie par ses alliés, exigeait déjà explicitement le départ du président syrien. Ce dernier était ainsi placé devant l’alternative : ou bien obéir aux injonctions et déguerpir, à l’image des marionnettes occidentales Ben Ali ou Moubarak ; ou bien faire face à ce qui allait s’avérer de plus en plus clairement comme une véritable guerre, portée par l’Arabie saoudite, le Qatar et leurs mercenaires (on sait en outre aujourd’hui que des formateurs américains, et très probablement français et anglais, entraînent les hommes de ladite Armée syrienne libre).
Les stratèges occidentaux comptaient que le président syrien obtempérerait, ou bien que son régime s’effondrerait rapidement. Sans doute ces derniers – à l’image de George Bush décidant d’envahir l’Irak il y a tout juste dix ans, avec les conséquences que l’on sait – se sont-ils pris au piège de leur propre propagande décrivant Bachar el-Assad comme un chef de clan isolé dans son propre pays. La réalité est qu’il continue à jouir d’un large soutien populaire, ne serait-ce que par crainte du chaos sanglant que ne manquerait pas de provoquer la victoire des proches cousins de ceux que Paris affirme vouloir éradiquer au Nord-Mali. Le chef de l’Etat français de même que le premier ministre britannique ont pris le parti d’une fuite en avant dans l’escalade. Les deux capitales, dans une sorte de réminiscence historique, veulent façonner le « gouvernement provisoire » censé diriger la future Syrie. Au nom de la paix, bien sûr.
Pour des raisons qui ne tiennent pas au refus de principe de l’ingérence, mais plutôt à la crainte (fondée) d’une situation immaitrisable, une majorité des Vingt-sept ne souhaite pas, pour l’heure du moins, suivre le duo des boutefeux. Qu’à cela ne tienne : alors qu’on lui opposait l’embargo européen reconduit le 18 février dernier, Laurent Fabius a eu cette réaction courroucée : « la France est un pays souverain ». Ainsi, au moment même où s’accélère l’abandon des dernières prérogatives nationales – budgétaires, mais aussi économiques et sociales – le ministre ne se souvient de la souveraineté que dans un seul cas de figure : pour alimenter une guerre et déstabiliser un pays indépendant.
Les dirigeants européens ont cependant retrouvé une belle unanimité dès lors qu’il s’est agi de remettre dans le droit chemin un petit et lointain Etat membre – à quelques encablures des côtes syriennes : le 16 mars à l’aube, l’eurogroupe décidait de piocher dans les comptes des Chypriotes, dans l’espoir d’éviter que la zone euro ne replonge dans le chaos. Et enjoignait aux parlementaires de ce pays de ratifier, dès le lendemain, le diktat. Lesdits élus ne s’étant pas pliés à cette formalité, le patron de la Banque centrale européenne a publié un ultimatum menaçant l’île d’un véritable blocus monétaire.
En 2007, José Manuel Barroso estimait que l’UE constituait « une sorte d’empire non-impérial ». De plus en plus ouvertement, l’adjectif est de trop.
Merci un million fois. C'est simple et concis!
Voila , Mesdames, Messieurs, quelqu'un de bon sens !!!!. On peut, soit dit au passage, remercier de Grands défenseurs de la liberté de penser, ou bien ...Suite tout simplement, la liberté d’être . De Grands Pays comme L'Arabie Merdique des Saouds, qui sont bien entendues des gens bien puisqu'ils peuvent acheter tout le monde à coup de pétros-dollars et bien sur, Le Gentil Porc qu'est L’Émir d'un pseudo Pays, le Qatar.
Merci encore Amir
Bravo, tu as tout fait raison. Cela résume très bien notre époque moderne, avec la soit disant "libération de la femme", qui n'est ni plus ni moins devenue un objet de consommation. La déshumanis...Suite ation comme par le femme objet.