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Bonjour les ami(e)s;
Voici, un exemple de pièges auxquels, il ne faut pas tomber. ce sont des escros:

****************************************************************
De : DR ABDELAZIZ MBEKI [mailto:[email protected]]
Envoyé : mardi 31 août 2010 14:56
À : mr
Objet : proposition d'investissement ou un partenariat

Bonjour Monsieur
Comment est la vie, de travail et toute votre famille, j'espère que tout va bien avec vous.
Je sais que ce dernier viendra à vous comme une surprise et j'espère que vous ne serez pas gêné d'avoir reçu de moi.
Je suis le Dr Abdelaziz Mbeki, un Zimbabwéen, mais maintenant à Liverpool, en raison de la crise politique qui s'est passé dans mon pays.
Et maintenant, je veux ouvrir une entreprise de fabrication dans votre pays, pouvez-vous m'aider? J'ai besoin d'un citoyen de confiance qui peut m'aider, en tant que partenaire d'affaires.
Ou de prendre 20% de ces proposé, (4.m euros), quatre millions d'euros, qui seront utilisés pour l'installation de mon entreprise dans votre pays, et me remonter les informations nécessaires et les choses qui seront nécessaires pour moi pour installer mon entreprise dans votre pays.
S'il vous plaît, je veux que vous m'aider avec vos coordonnées, afin que je vous appel à nous pour discuter plus sur le téléphone pour une meilleure compréhension.
Merci et restent béni.
Nom: Dr Abdelaziz Mbeki,
Adresse: 26, rue Castlereagh Liverpool NSW2170.
Tel: +447031845888.
E-mail: [email protected]
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bonsoir les ami(e)s
La liste des parrains s'allonge, nous sommes 14!

Je vous présente mes meilleurs voeux à l'occasion de l'Aïd el Filtr.

السلا م عليكم جاميعا
عيدكم مبارك وكل عام وانتم بخير عليكم بالصحة والعافية.
Mes amis bennouriens et doukkalis nous voila retournés à nos affaires et nos domiciles respectifs, et que les affaires reprennent, merci à tous surtout à se qui ont contenus à animer le forum ainsi les 14 personnes qui ont fait le parrainage des orphelins il faut les aider ses jeunes. On reste on contact à bientôt.
kouali

L’ ASBR EN D EUIL

La disparition soudaine de Mme Lalla Khadija El Omari mère de M. Mohamed Ossaifer membre de l’ASBR Maroc.
Les familles Ossaifer et Omari viennent de perdre son flambeau lumineux indique M. Ossaifer, la défunte est partie laissant un très grand vide que nul ne pourra combler.
Père Lalla nous n’oublierons jamais ta générosité et surtout ton courage face à ta vie.
En cette douloureuse circonstance les collaborateurs des différents organes de la presse nationale présentent leurs vives condoléances et leur sincère compassion à notre ami Si Ossafer et à sa famille et implorent le Tout Puissant de lui accorder réconfort et consolation.
Que Dieu ait son âme en paix et nous sommes à Dieu et à Lui nous retournons.

Je présente mes sincères condoléances notre ami Ossafer et à sa famille.
Nous sommes à Dieu et à Lui nous retournons.
Que la défunte se repose en paix.

Mes sincères condoléances à Mr Ossafer et à sa famille.
Nous sommes à Dieu et à Lui nous retournons.
Que la défunte se repose en paix

Salon régional de l'artisanat pour la province de SIDI BENNOUR

Abdelkader BELCADI


Le Salon régional de l'artisanat, organisé par la chambre de l'artisanat d’El Jadida en coopération avec la maison d’artisan et en coordination avec la province de Sidi Bennour ,a pris place à partir de 15 au 26Ramadan 1431 dans l'espace de l’avenue des FAR , sur la route principale El Jadida- Marrakech.

Ce salon expose une panoplie de produits d'artisans et de coopératives artisanales, notamment de tissage traditionnel, de broderie, de couture, de tapisserie, d'habillement, de menuiserie artistique, de forge artistique et de poterie et pour la 1ère fois dans la région l’exposition de l’art de bougie.

Le salon, qui connaît la participation de plusieurs coopératives et d'associations professionnelles du secteur du textile en particulier, offre aux visiteurs l'occasion de prendre connaissance des innovations et des créations des artisans locaux et de découvrir la diversité de l'artisanat régional et national.

Cette manifestation qui se poursuivra jusqu'au 11 avril, vise à promouvoir le produit de l'artisan marocain et à insuffler du tonus à ce secteur qui emploie plus de 2 millions de personnes.
Ce grand de l’artisanats a été inauguré par M.Jalal Eddine Merimi gouverneur de la province de Sidi Bennour en présence de plusieurs personnalités civiles et militaires.







s

ZEMAMRA Une situation dramatique

Abdelkader BELCADI

La ville est dépourvue d'un vrai réseau d'assainissement et d'épuration

Avec une population de plus de 12000 habitants, Khémis Zemamra, qui s'étend sur une superficie de 530 ha environ au centre de la zone d'irrigation des Doukkala, constitue un centre de polarisation pour les communes avoisinantes de Laghnadra, Ouled Sbaïta, Saniate Berreguigue, Gharbia et d'autres douars.

La ville dispose de tous les atouts pour devenir un centre incontournable de l'industrie agro-alimentaire.
Située sur la route nationale RN 1 qui relie les villes d'El Jadida et Agadir, à 75 km au sud- est d'El Jadida, la ville de Zemamra, qui faisait la fierté de la population doukkalie, est aujourd'hui méconnaissable. Délabrée et défigurée par une urbanisation anarchique et sauvage qui ne respecte aucunement l'intérêt général. Khémis Zemamra était hier encore, une ville propre et belle, et ses citoyens respectueux de leur environnement.

Aujourd'hui, dans cette ville désordonnée, il faut sans cesse zigzaguer dans certains endroits pour éviter les nids-de-poule, les ânes faméliques tirant des carrioles trop lourdes, et les vieux camions qui s'arrêtent où bon leur semblent.
On roule à droite, à gauche et même sur les trottoirs, peu importe. La seule priorité que l'on respecte c'est le désordre. On note une grave détérioration de la voirie urbaine, que l'on remarque plus particulièrement sur plusieurs boulevards et rues qui n'ont pas été réhabilités depuis belle lurette.
Le délabrement généralisé des routes constitue donc une préoccupation même pour ceux qui effectuent un passage par cette localité. A cela s'ajoute le fait que l'environnement ne se prête pas au maintien de la propreté : sols non cimentés, poussière et sable omniprésents, circulation des animaux...

Pire encore, à Zemamra, qui est dépourvue d'un vrai réseau d'assainissement et d'épuration, le déversement de déchets liquides se fait à ciel ouvert le long de la route . Ainsi, les eaux stagnantes, constituées des eaux usées classiques des foyers, deviennent la cause de la prolifération et du développement d'agents pathogènes, de vecteurs de maladies et de nuisances diverses. En plus, ces eaux usées non épurées provoquent beaucoup de dommages à l'environnement, en général et aux milieux récepteurs en particulier.

Ces eaux usées sont évacuées dans un canal à ciel ouvert vers le sud-ouest de la ville où elles sont répandues dans une daya qui constitue une vraie menace pour les ressources naturelles et pour la santé de la population des douars avoisinants.

Et, comme le réseau d'assainissement y fait défaut, on ne tarde pas à apercevoir les difficultés quotidiennes qu'endurent ces pauvres citoyens. Plusieurs mesures ont été prises et un travail énorme a été effectué et qu'un réseau d'assainissement de 25.000 ml a été réalisé. Toutefois, toutes ces actions demeurent "insuffisantes" face au problème grave causé par l'épandage des eaux usées brutes sans aucun contrôle.
C'est pourquoi on se demande pour quelle raison le projet d'aménagement d'une station de traitement des eaux usées tarde à voir le jour.
D'autre part, la première bataille des habitants de Zemamra c'est celle pour la sécurité. Avec la loi des " pervertis " s'est développée une criminalité extrême : vols, viols et meurtres.

SIDI BENNOUR
Vingt plages marocaines labellisées pavillon bleu, dont Oualidia et El Haouzia

Abdelkader BELCADI


Dans le cadre du programme "Plages propres" de cette année qui a concerné 57 plages marocaines, 20 ont obtenu le label "Pavillon Bleu", décerné par la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement et la Fondation internationale pour l’éducation et l’environnement.

“L'information”, “la sensibilisation et l'éducation à l'environnement”, “la qualité des eaux de baignade”,“l'hygiène et la sécurité”, et “l'aménagement et la gestion” ont été les quatre critères qui ont valu à vingt plages marocaines, l’octroi du label international “Pavillon Bleu” décerné par la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement et la Fondation pour l’éducation et l’environnement (FEE).

A en croire un communiqué de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement paru mardi dernier, 57 plages ont postulé au départ à l’octroi du sésame, dans le cadre du programme national “Plages propres”. Au final, le comité national piloté par la Fondation Mohammed VI n’en a retenu que 20, après vérification des critères justifiant l’obtention du label Pavillon Bleu.

De Aïn Diab à Laâyoune

Il s'agit, précise le communiqué, des plages de Saidia municipale, Mdiq , Fnideq , Achakar, Sol plage, Asilah, Skhirate, Bouznika , Sablettes (Mohammedia), Ain Diab, Mme Choual (Ain Diab Extension), Haouzia , Oualidia ( Province de Sidi Bennour), Sidi Rahal, Safi municipale, Souiria Lkdima, Essaouira, Agadir, Mirleft et Foum El Oued/Laâyoune.

Délocalisé au Maroc en 2005 par la FEE sur demande de la Fondation Mohammed VI, le label Pavillon Bleu vise la promotion et la mise en œuvre des programmes de sensibilisation et d'éducation à l'environnement. Un subterfuge pour la Fondation Mohammed VI qui a su mobiliser autour du projet des partenaires publics, privés et la société civile afin de hisser les plages propres marocaines aux standards internationaux. Objectif: contribuer au développement du tourisme balnéaire du Royaume.

Et le jeu en valait la chandelle car le nombre de pavillons décernés a connu une nette évolution passant ainsi de 2 plages en 2005 à 20 plages en 2010. Géré à l’international par la FEE, un réseau d’ONG de 60 pays, le label Pavillon Bleu compte aujourd’hui 2884 plages sur 33 pays (Europe, Canada, Caraïbes, Nouvelle Zélande, Afrique du Sud, Tunisie et Maroc).

Les plages labellisées “Pavillon Bleu”

Saidia municipale, Mdiq , Fnideq , Achakar, Sol plage, Asilah, Skhirate, Bouznika, Sablettes (Mohammedia), Ain Diab, Mme Choual (Ain Diab Extension), Haouzia, Oualidia, Sidi Rahal, Safi municipale, Souiria Lkdima, Essaouira, Agadir, Mirleft et Foum El Oued/Laâyoune.

J'ai appris dans ce forum l'évènement qui a frappé un des membres actifs de l'ASBR Maroc en l'occurrence Monsieur Ossaifer. Je rejoins tous les intervenants pour présenter mes sincères condoléances ainsi qu'à toute sa famille . Je sais combien une mère compte dans la vie d'un homme, il faut du courage pour surmonter ses douleurs et comme on dit dans notre chère Doukkala de la patience

Bonsoir les amis,
je tiens à remercier Monsieur Abdelkader BELKADI pour les deux derniers articles postés le 14 septembre.
la situation de Khemis Zemamra et la plage d'Oualidia. Je me permets de dire un petit mot pour chacun des articles , je tiens à préciser que mes propos n'engagent que moi en tant que citoyen. Je suis triste de lire la situation de L'Khmis, c'est comme ça quand 'on appelait dans le temps partout dans les villages voisins. Il me semble que dans une de mes interventions j'ai déjà évoqué le drame des eaux usées de cette ville ... Et ça m'attriste ... Je n'ai pas grande chose à rajouter par rapport à l'article il est complet et surtout pragmatique. J'aimerais bien que Monsieur Belkadi le complète s'il peut bien sur en faisant quelques recherches sur l'eau potable. Comment est elle produite ? Je n'ai pas vu de station de filtrage. J'ai vu construire un petit château d'eau à proximité de SAGUIA sur la route de Sidi Bennour . Est ce toujours le même? Est il suffisant pour alimenter une ville de 16 000 habitants alors que le village ne dépassait probablement pas 1000 lors de cette construction, j'aimerais connaitre enfin la qualité de cette eau? Je me souviens que les français produisaient l'eau par pompage dans des nappes assez profondes. C'était dans le cour du village . Ils avaient créé une source d'eau qu'on l'appelait SANIA. Les personnes de ma générations doivent s'en rappeler. Cette fameuse SANIA servaient de poumon pour les villageois et les douars proches. Que devient cette SANIA ?
L'article dit bien que Zemamra se trouve sur l'axe RN1 (Casa Agadir). C'est un village qui a une position stratégique. Il était encore mieux placé et plus desservi que Sidi Bennour. Nous n'avons pas su en profiter pour dynamiser la ville. Je me rappelle d'un Khlifa Marrakchi , il s'appelait Sellam ou Selmi.. . Ce Monsieur avait passé plusieurs années dans ce village. Il est devenu plus doukkali que les villageois .. Ce Monsieur a beaucoup travaillé.. mieux que les élus . Je me rappelle quand il avait pris une initiative individuelle pour planter quelques palmiers ou des orangers (ne m'en voulez pas pour ma mémoire) justement en plein village au bord de la RN1. Il avait lancé aussi pleins d"espaces verts, ce geste a permis d'apporter de la verdure, de l'urbanisme et surtout un sens du civisme. Je me rappelle aussi de ces eucalyptus plantés par les français en plein village, sont ils encore la?
Pour le deuxième article je ne connais pas les critères pour labelliser les plages. Ce que je peux dire par contre, je reste nostalgique de L'Oualidia des années 70. Je ne comprends pas ces constructions sauvages au bord de l'eau..

Bonjours mes frères Bennouriens et doukkalis
D'abord à mon tour de remercie Mr Belcadi pour ses articles et les renseignements qui nous a fournis, je sais bien que tous les Bennouris du monde < MRE> pensent la même chose, j'ai discuté avec pas mal de compatriotes MRE qui disent pareille, on ne voit pas Doukkala beaucoup bougé, comme le dise l'article dans le site d'Eljadida.com. Mes chères doukkalis du monde continuent en parler autour de vous ; et discuter entre vous, parce que il y a que nous qui voient la différence entre se que on voit tous les jours et se que on voit a notre arrivés à notre chère doukkala. Vous êtes comme moi quand vous arrivaient à Sidi Bennour avec vos enfants dés le 3eme jour les enfants commencent à s'ennoyer et vous demandent d'aller voir ailleurs. J'espère qu'avec le nouveau changement, l'arrivé de Mr le Préfet ca va changer les choses et bousculer les habitudes.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 17/09/10 00:10 par kouali.

Merci mes amis pour vos interventions sur ce poste. Si, il vit encore, c'est grace à vous!
En ce jour, nous sommes 18 parrains. Bientot, le 30 sept, et je suis sure que notre objectif sera atteint.( 20 parrains). Il y a 40 demandes (filleuls).
Bouger, SVP!!!!!!, Parrainez un enfant!!!!!!

Bj tout le monde & surtout ceux qui milite pour perenniser ce forum pour le bien de notre Bled


A cette occasion, je présente mes cinsères condoléances à notre grand ami à tous ; si Ossaïfir

Bonjours mes amis Bennouriens de l'ASBR,
Je pense toujours à la journée du RDV des ASBRS, j'ai eu une idée, je demande votre avis?.
Je pense à une journée d'histoire et nostalgie.
C'est la projection d'un film historique des années 50 jusqu'au années 70,80 avec des anciens photos collectée chez les amis Bennouriens et les anciens photographes ; collecter et raconter l'histoire du Sidi Bennour, il y'a beaucoup d'ASBR qui ne connaissent pas l'histoire de SB.
Une journée de rencontre, d'échange d'idées, de revoir les anciens amis de l'école et collège AÎYADA, d'échange de nos souvenirs et notre devenir.
S'est une idée je pense à y réfléchir et développer.
A vos commentaires.

BJ tt le monde

je m'excuse de mon eclipse, il est dû à plsieurs andicp, maladies, occup. diverses.....,

je souhaite que les militants de notre bled persévèrent pour perenniser ce forum.

Comme j'ai donné mon opinion sur ce forum avant même l'instauration de la province à SB, que la centralisation de ttes les décisions socioéconomiques depuis El Jadida ( notre ville que ns aimons ts) loin de la réalité des hommes du Bled, ce qui a engendré bcp de dégâts à l'épanouissement de ttes la région, l'expl. est flagrant, à savoir : l'implantation de l'usine laitière, les moulins etc... en plein centre de la ville, quels guâchis?

Je pense que les autorités ont bien y pris conscience

Pourquoi ne pas lier Alaounat à Sdikat , Ouled Omran à Bénikhlaf, et ouled Bouzerrara à Ouled Messelem par double voies de Aounat à Oalidia en passant par SB, & Kémiss Zemamra, tout en créant des villes bien structurées: SB, Khemiss Zemamra, Oualidia et pquoi ps d'autres pour donner l'importance à notre région qu'elle mérite, et ce à l'instar des autres provinces.

Concernant, notre perle côte d'OUALIDIA, il est temps d'appliquer le droit maritime pour éradiquer les squats occupés par des bureaucratiques de jadis ou leurs acolytes, afin de redonner à Oualida son image et l'aspect d'autre fois, et pourqoui pas une ville nouvelle comme elle doit être.

Espérant, que le nouveau gouverneur expérimenté dans ce domaine pour la mettre au niveau de Mdiq & voire mieux,

Biensûr mes suggéstions rentre dans l'élan des grands chantiers que mènent le MAROC actuellement

A vs les Ouroubi comme moi.

Haj SiFeddoul MAKSOUD ALLAH NOUS QUITTE

La disparition soudaine de Haj Si Feddoul Maksoud Allah père de notre ami Si Ahmed Maksoud Allah et ancien étudiant au lycée mixte de Sidi Bennour, actuellement chef de division de ressources humaines à la province de Nouasser Casablanca
La famille Maksoud Allah vient de perdre son flambeau lumineux indique Si Ahmed, le défunt est parti laissant un très grand vide que nul ne pourra combler.
Père Haj Si Feddoul nous n’oublierons jamais ta générosité et surtout ton courage face à ta vie.
En cette douloureuse circonstance les collaborateurs des différents organes de la presse nationale présentent leurs vives condoléances et leur sincère compassion à notre ami Si Ahmed et à sa famille et implorent le Tout Puissant de lui accorder réconfort et consolation.
Que Dieu ait son âme en paix et nous sommes à Dieu et à Lui nous retournons.

Citation
belcadi a écrit:
Haj SiFeddoul MAKSOUD ALLAH NOUS QUITTE

La disparition soudaine de Haj Si Feddoul Maksoud Allah père de notre ami Si Ahmed Maksoud Allah et ancien étudiant au lycée mixte de Sidi Bennour, actuellement chef de division de ressources humaines à la province de Nouasser Casablanca
La famille Maksoud Allah vient de perdre son flambeau lumineux indique Si Ahmed, le défunt est parti laissant un très grand vide que nul ne pourra combler.
Père Haj Si Feddoul nous n’oublierons jamais ta générosité et surtout ton courage face à ta vie.
En cette douloureuse circonstance les collaborateurs des différents organes de la presse nationale présentent leurs vives condoléances et leur sincère compassion à notre ami Si Ahmed et à sa famille et implorent le Tout Puissant de lui accorder réconfort et consolation.
Que Dieu ait son âme en paix et nous sommes à Dieu et à Lui nous retournons.

A mon tour, je présente mes sincères condoléances à la faimille s fadoul.
Que le défunt se repose en paix.

Je publie un message qui m'a été adressé, dans ce sens.


Arkoun: Hommage au doyen de la pensée islamique



• Brillant parcours pour ce grand chercheur qui s’est éteint avant-hier
• Il a été chroniqueur pour L’Economiste et Radio Atlantic

Le franco-algérien Mohammed Arkoun, intellectuel, philosophe et grande figure de l’islamologie, est décédé avant-hier mardi à Paris, à l’âge de 82 ans. Il sera prochainement inhumé à Casablanca. Un hommage lui sera rendu le 27 septembre à l’institut du Monde arabe à Paris.

Cet historien de l’islam marquera l’histoire de la pensée. Il figure parmi les professeurs les plus influents dans l’étude islamique contemporaine et faisait de la recherche à l’Institut d’études ismaéliennes. Il a été chroniqueur pour L’Economiste et Atlantic Radio.

Ce professeur émérite d’histoire de la pensée islamique à la Sorbonne enseignait l’«islamologie appliquée». Une discipline qu’il a développée dans diverses universités européennes et américaines.

Dans sa pensée, il plaide pour l’identification systématique et la destruction des préjugés et des stéréotypes négatifs, parfois très anciens, qui ont cours de part et d’autre. Selon lui, l’Occident n’est pas plus l’incarnation du démon matérialiste, immoral et athée, que l’Islam n’est réductible au fondamentalisme intégriste, terreau du terrorisme et incompatible avec la démocratie et la modernité.
Mohammed Arkoun entretient un dialogue étroit avec le christianisme et le judaïsme.
Il a coécrit des ouvrages avec des intellectuels des deux confessions.

Arkoun a beaucoup réfléchi sur la laïcité, valeur qu’il défend, y compris pour le monde musulman, mais dans le cadre de la nécessité qu’il rappelle, de devoir prendre en compte les spécificités de cette culture dans son histoire. Son plaidoyer pour la laïcité n’est pas dépourvu d’une critique envers celle-ci, du fait des formes particulières qu’elle a empruntées dans l’histoire et les contradictions qu’elle a aussi engendrées, qu’il voudrait voir dépassées, et qui se résument selon lui, à une incompréhension de l’autre culture. Néanmoins, ces réserves exprimées, Mohammed Arkoun pense que, pour sauver le monde musulman de ses démons et le sortir de ses impasses, il est essentiel que l’islam accède à la modernité, politique et culturelle.
Mohammed Arkoun est né en 1928 à Taourit-Mimoun, petit village de Kabylie, dans un milieu très modeste. Il a fait ses études primaires dans son village natal, puis secondaires à Oran chez les Pères Blancs.

Il a étudié la philosophie à la faculté de littérature de l’université d’Alger puis à la Sorbonne à Paris. Il a obtenu ensuite une agrégation en langue et en littérature arabes en 1956 avant de décrocher son doctorat de philosophie en 1968. Il a été directeur scientifique de la revue Arabica, dont il a contribué à la grande réputation.
Mohammed Arkoun a enseigné comme professeur à la faculté des lettres et sciences humaines de Strasbourg, au lycée Voltaire de Paris, comme maître-assistant à la Sorbonne, comme professeur associé à l’université de Lyon II, puis en tant que professeur à l’université Paris VIII et à la Sorbonne.

Il a été membre du Wissenschaftskolleg de Berlin et de l’Institute for Advanced Studies de Princeton, dans l’État du New Jersey aux États-Unis, comme professeur affilié de l’université de Californie à Los Angeles, du Temple University, de l’université de Louvain-la-Neuve en Belgique, de l’université Princeton, du Pontifical Institute of Arabic Studies à Rome et à l’Université d’Amsterdam. Il a dispensé de nombreux cours et conférences à travers le monde.

Mohammed Arkoun a été membre du Comité directeur puis du Jury du Prix Aga Khan d’architecture, du Jury international du Prix UNESCO de l’éducation pour la paix, et du Conseil scientifique du Centre international des sciences de l’homme de Byblos.

Il a été fait en juillet 1996 officier de la Légion d’honneur, puis officier des Palmes académiques. L’université d’Exeter du Royaume-Uni lui a attribué ensuite le titre de docteur honoris causa. En 2001, Mohammed Arkoun était invité à donner les «conférences de Gifford» à l’université d’Édimbourg, qu’il intitule «Inauguration d’une critique de la raison islamique». En 2002, il a reçu le 17e «Giorgio Levi Della Vida Award » pour l’ensemble de ses contributions dans le domaine de l’étude islamique. En 2003, il a reçu le Prix Ibn-Rushd.

Il est l’auteur de très nombreux ouvrages dont «La Pensée arabe», «Lectures du Coran», «Penser l’islam aujourd’hui» ou encore «The Unthought in Contemporary Islamic Thought». Ses travaux sont publiés dans de nombreux journaux universitaires et sont traduits en plusieurs langues.

L’Economiste du 16/09/2010