Halka : Blagues, poèmes, jeux, détente

Yabiladi

Annonces

Général

Actualité du Maroc et du Monde

Voyages & vacances

Culture, Histoire et régions du Maroc

Aide, astuces & bons plans

Formalités administratives & aide juridique

Sports

Halka : Blagues, poèmes, jeux, détente

Yabiladies

Mariage et administration

Organisation mariage # Maroc

Organisation mariage # International

Relations sentimentales

Problèmes de couple

Relations familiales et sociales

En attendant bébé...

Bébés, enfants, et éducation

Mode & beauté

Santé, psychologie & diététique

Ch'hiwates : Cuisine & gastronomie

Islam

Apprendre l'islam : prière, dou3a, hadith...

Islam & pensées religieuses

Ramadan 2024

Interprétation des rêves, roqya, djinn

MediaTIC

Informatique, téléphonie & multimédia

TV, Ciné, musique, people

International

Foro de Marruecos y de Marroquíes

Morocco # English board

منتدى المغرب و المغاربة حول العالم

Les filles, je serai de retour pour vous parler (sourire)

Merci pour vos commentaires (sourire) et joumou3a moubaraka lijami3 almousslimine

salam

vraiment cette Soukayna m'a l'air plus qu'étrange. Elle invente des histoires. On dirait qu'elle cherche à tester son mari.

Cependant, elle semble bouleversée et elle mérite d'être aidée par notre protagoniste.

Son mari est vraiment écœurant. Il n'a rien d'un homme. En aucun cas, il ne devrait la frapper

Attendons la suite

Merciii Matrix pour ce régal

salam,

bravo tu as touché un point très sensible sur ce forum llai i3tik sehha.

oh! elle est méchante cette soukayna


la suite la suite

Soukayna.....La parfaite petite victime, celle qui ne se remet absolument pas en question.....Les limites ont été franchies de part sa volonté ainsi que celle de son mari.

Bouchra tente de la raisonner, en prenant appui sur sa récente expérience, lucidement.

En confrontant Soukayna à ses manigances elle ne fait qu'attiser sa colère, sa rancoeur, son désir de vengeance.C'est une femme battue, Soukayna ne voit que ça, et elle s'en sert à outrance en reprochant à son amie son raisonnement de sage.

Sous l'effet de la colère Soukayna tient des propos insultants, la parfaite victime, qui se repose sur le dernier évènement, la violence d'Azar à son égard, impardonnable d'autant plus qu'elle est enceinte.Violence qui doit être condamnable et qui appelle réparation par voie légale, immédiatement.

Bouchra ne l'entend pas de cette oreille, et essaye encore et toujours de raisonner la furie qui ne pense qu'à une seule chose : voir son mari payer!

La colère, tel un feu dévorant, l'étouffe et Bouchra saura t'elle l'éteindre? Soukayna, parfaite victime, aurait souhaité que son amie la suive, aveuglément, dans son plan machiavélique.

En accusant Bouchra, en l'insultant, Soukayna s'attend surement à ce que Bouchra prenne fait et cause pour elle, veut-elle pousser par l'intrigue Bouchra à lui prouver que c'est son amie?
Esprit assez retors.....

Attendons de voir ce qu'il va s'en suivre......

Selon Bouchra, la sympathie et la solidarité envers une personne ne dénotent pas forcément l’existence d’un pont amical. L’amitié est plus profonde que cela, était toujours sa conviction.
« Les oiseaux du même plumage volent ensemble » était souvent le proverbe duquel elle se referait pour avoir de la motivation à nouer une relation de qualité.

Au Maroc, elle différenciait entre l’amitié vertueuse qui consiste à aimer l’autre pour sa propre personne loin de tout avantage espéré et l’amitié de plaisance qui s’inspire de la complaisance du plaisir en particulier. Les alliés de cette catégorie recherchent beaucoup plus des moments d’agréments entre eux que le goût de l’esprit. Et ce qui fait que ce genre de liaisons se crée et meurt facilement vu que le divertissement cherché change au gré de la circonstance et selon la maturité de chacun des dits amis.

L’amitié utile est l’autre concept qui lui demandait, dans des occasions, un engagement sincère sans pour autant laisser libre cours à l’amour d’agir comme catalyseur durant son parcours. Dans ce cas, le service mutuel engendre la cause élémentaire de sa naissance. C’est une sorte d’amitié accidentelle qui se base principalement sur le fait que l’utilité reste dépendante des besoins relatifs aux conditions des partisans. Le lien peut se défaire au moment où les intérêts se déplacent ailleurs par devenir carrément absents et c’est exactement ce qui se passe entre elle et sa voisine de l’immeuble.
Etant donné que son souhait du soir n’a pas été exaucé comme attendu, Soukayna renonça aisément à leur relation. Rationnelle depuis le début de leur connaissance, Bouchra répliqua calmement à sa reproche :

- Tu parles d'amitié? Sais tu que dans une véritable amitié, on y trouve non seulement la chaleur de l’affection mais aussi de la pudeur qui fait que nous avons soin de ne pas atténuer la dignité de l’autre? La franchise y est un atout, oh que oui! Mais au manque de respect, elle perd vite sa valeur. Tu te permets de m’agonir, de toucher à l’honneur de mon mari et c’est une attitude que je trouve dépassée voire insensée. Je te le dis en toute sincérité Soukayna.

Toute choquée de la voir persister dans son dressage, elle lui cria encore plus sa rage:

- Bon sang mais qu’attends tu? Tu me fais de la morale alors que tu me vois en pleine souffrance ! Le civisme serait plutôt d’avertir la police qui saura mettre le mec dans une cellule. C’est ce que je cherche et non des blabla à travers.

- N’empêche que tu n’a pas le droit de nous insulter. Tu devais m’en vouloir, nous en vouloir si c’est ton ressenti. Nonobstant que ça te déplaise notre réaction, fallait me le dire sans aucune atteinte à notre amour propre.

- Si ça t’agace, laisses moi te f..o..u..t..r..e le c..o..n. Pourquoi me retiens tu encore? Tu ne fais qu’intensifier mon aigreur.

- Soukayna, saches que le voisinage implique des droits au delà de ce qu’exige une amitié quelconque. Notre religion nous conseille de prendre soin de Al’jar. En cas de malheur, il faut savoir pardonner ses fautes, négliger ses défauts, supporter sa gêne et ce, pour le soutenir. T’es en détresse, tellement déboussolée que mon devoir est de te consoler, te moraliser s’il le faut pour t’éviter plus d’égarements.

- Tu ferais mieux de m’éviter ce discours plutôt. Notre voisinage, je n’en ai pas besoin si mon état ne te suffit pas pour saisir ma décision. J’étais incapable de téléphoner de chez moi puisque le criminel d’en bas m’en avait empêché. Il m’a expulsée dehors et ça va lui coûter cher, très cher. C’est ainsi que j’ai espéré votre aide. Hélas que son feu vert vous est plus important que mon SOS! ça ne me montre qu’une seule chose : Vous êtes tous les deux contre moi et il vaut mieux que je dégage.

Déterminée à quitter le salon, Soukayna poussa agressivement sa voisine qui lui entravait hardiment le chemin. Bouchra continuait à la secouer fraternellement par les épaules en la suppliant à plus de contrôle :

- Na3li Chitane akhti. Je ne vois pas qui tu pourrais contacter en cette heure assez tardive. Attendons le retour d’Ahmed Allah i3tik ster. Du calme stp. Fais le au moins pour ton bébé.

Face à la résistance de sa voisine, Soukayna se sentait très faible physiquement. Son moral à zéro, elle tomba en sanglots. Coléreuse et terriblement malheureuse, elle lui hurla en pleine figure ses autres accusations :

- Je suis une victime de la violence conjugale a3ibad Allah et que fais tu ? Tu minimises le crime et ça me dégoute ! Je n'ai vu aucun signe de solidarité ! Le pire, tu me pousses à un sentiment de culpabilité ! Gardes tes conseils. Je m’en tape, je m'en fîche.

Au moment où elle tentait de la repousser de côté, Ahmed apparut à l’entrée de la chambre . D’une voix extrêmement autoritaire, il la menaça :

- Ou tu te maîtrises ou j’appelle tes parents.

La suite par la suite (sourire)



Modifié 4 fois. Dernière modification le 22/03/10 16:03 par Matrix Gamma.

Sara, tu m'as fait rire. Oui Soukayna est agressive et je vais essayer de détailler ce qui la laisse hors d'elle dans mes prochaines suites (sourire). Merci pour ton soutien Saratouna...

Sakhina, sourire...
Crois moi, j'ai aussi le plaisir de vivre avec vous sa construction...Ces derniers temps, ça m'arrive de perdre envie pour l'écriture. Je commence à la trouver longue cette histoire (rires) mais je ne peux la terminer d'un seul coup ...ça ne va pas coincider avec le rythme du début où je racontais pas à pas les détails. Et puis Les conflits des voisins sont dégradants et ça nécessite un autre genre de dialogue et ce qui fait que je me donne du temps avant de me pencher à décrire le reste des scènes....
En un mot: Il me faut de la patience. Je ne dois pas agir à la hâte ou en dépend de mes mines (sourire). Je prends du souffle avant de reprendre mon laptop pour vous transmettre le flux de mes idées (rires) et ça me fait plaisir de vous savoir satisfaites (rires)...

Merci pour ton commentaire Sakhina. Je pense que c'est la 1ère fois que t'as mis ton pied fhad saloune(sourire)...Marhba bik alalla...Chi ataye, chi 9ahwa? (clin d'oeil). Ne dis rien: Mon armoire taysaffar (rires)...Walou à part ce bouquin de l'Erreur fatale (sourire).

L'amitié.....Chacun a sa définition mais la vraie amitié est telle une rose, sublime, belle, parfaite, avec ses épines qui restera dans cet état à la condition de la nourrir, de l'arroser, d'en prendre soin.....
Soukayna veut une rose à son image, sans épines et certainement pas qui l'égratigne...

En tentant de la raisonner Bouchra ne fait qu'exciter la colère et la rancoeur de Soukayna à leur égard...Elle devient de plus en plus agressive...

Perte de contrôle, la colère gronde, les larmes coulent, une hystérique.....

Soukayna comptait surement sur la solidarité fémninine en plus de l'amitié, mais Bouchra reste objective face aux accusations et aux agressions...

Le bébé, en le mettant en avant Bouchra veut surement lui faire comprendre d'arrêter de ne penser qu'à elle, la petite capricieuse, la victime de sa propre faiblesse...

Entrée fracassante.....Qui met fin à l'isolement de Bouchra face à cette furie....Quel homme!

Attendons la suite....!

Citation
pommementhe a écrit:
hooo le salopardo il frappe sa femme

Morte de rire...

j'ai pas le moral pr commenter ta suite

M ce que jeme suis dis ds ma téte c'est a wiliawlii ses parent?? et pk?

Citation
Pika11 a écrit:
L'amitié.....Chacun a sa définition mais la vraie amitié est telle une rose, sublime, belle, parfaite, avec ses épines qui restera dans cet état à la condition de la nourrir, de l'arroser, d'en prendre soin.....
Soukayna veut une rose à son image, sans épines et certainement pas qui l'égratigne...

En tentant de la raisonner Bouchra ne fait qu'exciter la colère et la rancoeur de Soukayna à leur égard...Elle devient de plus en plus agressive...

Perte de contrôle, la colère gronde, les larmes coulent, une hystérique.....

Soukayna comptait surement sur la solidarité fémninine en plus de l'amitié, mais Bouchra reste objective face aux accusations et aux agressions...

Le bébé, en le mettant en avant Bouchra veut surement lui faire comprendre d'arrêter de ne penser qu'à elle, la petite capricieuse, la victime de sa propre faiblesse...

Entrée fracassante.....Qui met fin à l'isolement de Bouchra face à cette furie....Quel homme!

Attendons la suite....!

Morte de rire...Wallah c'est ce que je fais à chaque fois que je te lis Yalpikota...Mon Dieu ce que t'es chahwa ntina (j'imite les Tanjawas...rires)...Tu sais quoi? je vais sortir de cet écran et t'avaler d'un seul coup si tu continues à nous servir tes saveurs (rires)...

Je serai de retour yalmamamiya pour te parler, toi et les autres bien sûr (sourire)

Je me déconnecte avec un large sourire aux lèvres et mon devoir est te remercier pour ce p'tit plaisir. J'aime rire.
Généreuse, vas.

La suite du jour (22/03) est dans la page précédente.
A bientôt inchaa Allah
Bonne journée wassalam

salam bravo matrix gamma continue prend ton temps on sera toujours la pour te lire ,sa fait toujours plaisir

matrixx gamma finek ra kan tsanek

Soukayna a toujours été une anticonformiste. Sa mentalité qui n’était pas analogue à celle de ses parents, elle trouvait dans l’isolement une certaine auto thérapie. Depuis sa jeunesse, elle se sentait désintégrée dans sa culture mère. Elle considérait ses parents comme très conservatifs en visions, leur traditions comme arriérées et leur optique sur le comment cheminer dans la vie comme très étroite. C’est pendant la période d’adolescence qu’elle constata le grand écart entre sa propre définition sur une sociabilité réussie et celles de ses siens ayant été tout à fait son opposé.

Par peur de la perdre avant sa maturité psychique, ses tuteurs recouraient à l’autorité comme moyen efficace pour lui indiquer les bornes à respecter et à ne jamais outrepasser. Leur éducation était si sévère qu’ils lui refusaient bon nombre de souhaits. Par manque de liberté dans l’action pour faire ses premières expériences de la relation avec le monde extérieur et s’y épanouir mentalement, elle se refugiait pendant sa formation académique dans ses relations avec des libertins et situationnistes d'idéologie. Avec eux, elle se sentait authentique, n’avait nul besoin de renoncer à sa nature pour obéir ou faire plaisir. Les règles religieuses et morales n’avaient chez ses libres penseurs aucun poids dans les démarches, chose qui la poussait à s’attacher fortement à leur conception philosophique qu’elle avait supposée son unique ressource de bonheur.

Afin d'éviter les menaces de son père et apaiser les craintes de sa mère, elle excellait dans son rôle de brave fille à la maison tout en jetant ce costume une fois dehors où elle vivait pleinement sa postmodernité. Cette double façade lui permettait de se détacher, au moins pour des heures limitées, de sa culture parentale conçue comme médiévale.

C’est à l’âge de la puberté qu’elle avait décidé de se révolter finalement contre ses siens. C’était la fête de son indépendance. La loi civile l’autorisait. Elle voulait prendre sa vie avec ses propres mains, décider selon ses propres choix et vivre selon ses propres goûts. Elle en avait assez de sa faiblesse, marre qu’on pensait à sa place. Bigrement déterminée de vivre autrement, elle confronta ses opposants prête à la galère et à toute sorte de guerre. Sortir de son nid familial était son premier droit qu’elle leur réclama.

Son père en a eu une crise cardiaque qu’elle devint vite la fille maudite. Pour oublier sa malédiction, elle sollicita l’administration de son école pour lui permettre d’effectuer dans le cadre de son cursus un semestre de mobilité en Etranger. Sa lettre de motivation pour un stage international a été acceptée. Pour sa formation, c’était un véritable enrichissement avant l’obtention de son diplôme l’année en cours et pour son ambition, c’était une parfaite occasion à son développement personnel loin de toute pression, admit elle.

Soukayna quitta le pays à l’aide de l’organisation estudiantine qui s’est chargée de son hébergement. Pendant son séjour, elle rencontra fortuitement ce qu’elle a cru son grand amour. Un Français de la trentaine, 10 ans plus âgé qu’elle, qui travaillait dans la métropole comme un sommelier au sein d’un club de luxe, le lieu de son apprentissage professionnel par coincidence. Avec lui, elle acquit une confiance plus certaine en elle et en ses capacités. Elle apprit ce que c’est que se comporter libéralement sans rendre compte à qui que ce soit, ce que c’est que le respect de la diversité. Il fut le premier homme à qui elle a ouvert son cœur. Il savait l’écouter, apaiser ses douleurs, lui faire oublier ses mauvais souvenirs, assouvir ses désirs emmagasinés et refoulés depuis son très jeune âge et lui promettre une vie meilleure que celle qu’elle a dû supporter avant leur rencontre.

Perpétuellement en recherche d’une compréhension familiale et d’entraide morale, Soukayna prit son sauveur comme son homme de vie, son héros chéri. Sous un concubinage inadmissible par sa religion mais bien par ses envies corporelles, elle finit par lui céder son être tout entier.
Les 7 mois passés, elle se trouvait tristement obligée de retourner à son pays pour achever sa formation en gastronomie. Elle continuait en parallèle à le contacter, à lui rendre visite de temps à autre jusqu’au jour où ils décidèrent de créer ensemble un restaurant de classe. Grâce au grand amour qu’elle lui portait, elle était prête à refaire sa vie dans un pays de culture et traditions inconnues. Étant donné que ces dernières n’ont jamais été son souci pour se construire, elle n’y voyait aucun risque à sa prochaine aventure.

Elle tenta avant son immigration une dernière chance pour se réconcilier avec ses chers parents qui lui ont heureusement ouvert leur porte après un long refus de l’abriter. La nouvelle sur son mariage avec un non musulman a été un second choc pour son père. Il était incapable de la resentir désobéissante et mécréante en une fois.

La suite sur son historique par la suite (sourire)

Le passé de Soukayna, entre le poids des traditions de part son éducation, et son propre caractère il ne pouvait y avoir qu'une issue...La sienne puisque c'est sa vie...

La fille maudite, lourd tribu pour sa liberté.....Vers un monde meilleur de son point de vue...

Un oiseau épris d'envol....Qui atterrit et fait une rencontre....Sa rencontre....Son avenir...Son homme...

Sa famille, ses racines, elle y retourne mais la liberté de son choix de vie lui coûte encore plus cher....

Seule au monde, sans famille, mais avec son homme...Qu'a t'il bien pû se passer entre ce couple des temps modernes?
La détresse, l'isolement, le reniement des ses parents expliqueraient-ils à eux seul son comportement actuel?

Attendons la suite de son chemin, celui qu'elle a choisit envers et contre tous....

Aie, aie...

Je suis très à la bourreeeeeeeee


Un résumé SVP?

cela dit, pour les sagas romantiques on peut se permettre de rater qques épisodes, ça ne nuit pas à la comprehension de l'histoire

(okay je sors avant que MG me tombe dessus et me sabane lol)

Salam,

et nous!!! on veut notre suite on sait qu il y a une urgence en ce moment sur ce forum mais on va être patient.

je suis agreablement surprise par ce don que tu a de raconter cet histoire j adore a kan la suite

J'ai hâte de savoir ce que Ahmed va dire a bouchra pour la lettre et son travail... Il lui préparait une surprise peut être? En tt cas merci MG pr cette belle histoire =)