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Le locataire a écrit:Citation
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l'européen a écrit:
le vent du coté de narbonne rend fou
Pas tellement...mais les blancs racistes,ils pullulent,tu comprends ce que je veux dire...
car si un blanc,un français de souche (en plus),comme tu aimes à le répéter,avait écrit cette histoire,
tu te serais délecté. Ce n'est pas le cas.
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le vent du coté de narbonne rend fou
Pas tellement...mais les blancs racistes,ils pullulent,tu comprends ce que je veux dire...
car si un blanc,un français de souche (en plus),comme tu aimes à le répéter,avait écrit cette histoire,
tu te serais délecté. Ce n'est pas le cas.
j'ai precisé un fois que j'etais de souche et du coup, tu en déduis que je suis "blanc" (tes important la couleur pour toi visiblement) raciste.
d'un autre coté, c'est vrai que dans l'aude, le fn faisait de bons scores.
sinon, je ne lme serai pas delecté plus si c'etait un "blanc" qui mettait sa parano sur papier. j'aime la littérature de qualité.
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l'européen a écrit:
le vent du coté de narbonne rend fou
Pas tellement...mais les blancs racistes,ils pullulent,tu comprends ce que je veux dire...
car si un blanc,un français de souche (en plus),comme tu aimes à le répéter,avait écrit cette histoire,
tu te serais délecté. Ce n'est pas le cas.
j'ai precisé un fois que j'etais de souche et du coup, tu en déduis que je suis "blanc" (tes important la couleur pour toi visiblement) raciste.
d'un autre coté, c'est vrai que dans l'aude, le fn faisait de bons scores.
sinon, je ne lme serai pas delecté plus si c'etait un "blanc" qui mettait sa parano sur papier. j'aime la littérature de qualité.
Fallait tout simplement me "zapper" mais tu as eu une réflexion insultante à mon égard. J'en conclus que
la politesse n'est pas ton fort,et pour tout avouer,je n'aime pas ton arrogance...
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btiss13 a écrit:
que du suspense...
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Le locataire a écrit:
"Une très grosse somme d'argent" avait dit l'avocat. Mes yeux avaient pris des couleurs multiformes,ils n'arrêtaient pas de tournoyer sur eux-mêmes,je ne me reconnaissais plus. Le fric était à portée de main,il me suffisait de dire "oui",et à moi les belles choses dont j'avais été sévrées jusque-là.
Mais,il y avait un hic,un gros hic: la prison n'était pas loin,et les flics plus près que je ne l'imaginais...J'ai alors tenté un coup de poker,un bluff banal,pas trop consistant,mais il valait la peine d'être essayé. J'ai dis à l'avocat que le film n'avait jamais existé,et que cette histoire,je l'avais inventée de toutes pièces. J'ai même rajouté deux ou trois choses supplémentaires pour donner de la crédibilité à mon récit. "Je suis désolé" fis-je à la fin.
L'avocat s'est arc-bouté sur lui-même,ses traits se sont tendus,il s'est mis à la verticale,et il m'a lancé: "Vous plaîsantez? puis " On a fait faire une enquête sur vous,on sait qui vous êtes" et encore plus loin: " Vous êtes informaticien,vous manipulez très bien le clavier,l'informatique n'a pas de secret pour vous,et vous êtes loin de ressembler à un imbécile...réfléchissez bien!". Il a ajouté: " Vous me décevez,monsieur D...,les gens rêvent de gagner au loto,et vous, vous tirez le gros lot,et qu'est-ce que vous faites pendant ce temps,vous changez d'avis,vous n'en voulez plus...".
Il avait prononcé mon nom..Il devait tout connaître sur moi,je n'en avais plus de doutes. Il a encore dit ceci: "Si j'étais vous..". Justement,je n'étais pas lui,et lui n'était pas moi. Lui était avocat,pas moi. Il avait une famille,des enfants,une femme qui l'attendait..Moi,c'était la prison qui m'accueillait,et je refusais de croupir dans une cellule. J'ai répondu: "Je regrette" puis "je vais réfléchir...".
L'avocat est parti,l'air dépité,très déçu de la tournure des evenements,me prommettant de revenir tous les jours s'il le fallait. L'Avensis D-4D venait de partir. J'ai regardé la caméra,je l'avais inclinée à 180 degrés quand l'homme avait sonné. La conversation était enregistrée. A cet instant,je savais que rien ne pouvait m'arriver. C'était moi qui les tenait,pas eux. La donne venait de changer. La prison,je ne la craignais plus,elle était loin maintenant,et l'argent tout près...
Plus tard,j'ai repensé au verset du Coran qui disait: " Il ne t'appartient pas de décider". Je n'étais pas mort,walilahi el hamd.