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Adieu voisin
w
29 novembre 2008 21:16
peut etre que arhaye est le pere du locataire. et maintenant qu il connait l histoire, il se propose de nous la raconter?
a
29 novembre 2008 21:18
vous avez raison pas de plagiat ,si j ais un voisin comme lui le defonce ptdr

on plaisante papa du. locataire je toucherais pas a votre fils meme si cela me demange ptdr
e
29 novembre 2008 23:16
je confirme , l'histoire de locataire est véridique . je l'ai su il y a quelque temps d'une cousine qui m'avait appelée en catastrophe pour demander conseil ..
elle venait de recevoir une visite imprévue d'une ancienne collègue qu'elle n'avait plus revue depuis que cette dernière a quitté le travail pour mener à terme une grossesse difficile .. elles sont tout de même restés en contact via le téléphone et le chat .c'est ainsi que ma cousine savait que cette dernière avait encore fait une fausse couche et que la relation avec son mari était devenu tendue ... l'amie n'avait plus repris le travail mais passait son temps à faire du jardinage et avait même repris des cours de conduite vu qu'elle n'a jamais su très bien conduire . ce qui était souvent du temps qu'elle travaillait encore sujet à plaisanterie avec les collègues , auquel elle répondait joyeusement : regardez le bon cote . je peux toujours commettre un meurtre sans qu'on me passe en chaise électrique vu que je suis "mauvais conducteur" ...
d
29 novembre 2008 23:55
la suite la suite....jveu savoir, c trop interessant!!!!!!!!Clap
s
30 novembre 2008 10:55
Citation
la Sage a écrit:
Citation
Le locataire a écrit:
J'ai fais le tour de la propriété,une immense bâtisse de trois niveaux,et qui semblait désespérément vidée de ses occupants. J'ai vu la Mazda Premacy qui était garée dans la cour de la villa. La Honda Legend manquait,et j'en conclus que le mari était absent de la maison. J'ai mis le doigt sur la sonnette et j'ai appuyé de tout mon fort. Une minute plus tard,la femme a ouvert la porte. J'ai dis,calmement,en travers de la grille : "bonjour..je suis le voisin d'en face". Je n'eûs pas tôt terminé ma phrase quand elle a presque hurlé: "oui,je sais!!!" et puis très sèchement: "qu'est-ce que vous voulez?"

J'ai mis de la voix moi-aussi,assuré de mon bon droit,j'ai répondu: "J'aimerais vous entretenir à propos de ma voiture...j'ai des photos à vous montrer". Un ange passa. Elle a paru soudainement très inquiète car elle a fait quelques pas dans ma direction. Elle m'a dit ,presque religieusement: "De quelles photos s'agit-il,monsieur?".

Je lui ai expliqué que la roue arrière de ma voiture avait été crevée la semaine précédente,et qu'à la suite de cela,j'avais installé une caméra. J'ai ajouté que je l'avais surprise en train d'apposer sur la lunette arrière,un autocollant,vulgairement falsifié,de la police municipale,un acte réprimé par la loi,on me l'avait dit,je m'y étais renseigné...

La terre explosa. J'ai vu ses yeux tourner mille fois dans le vide,et on aurait crû qu'elle allait mourir sur le champ. Elle s'est approché davantage,posant ses mains sur le grillage,et puis regardant
un court moment par derrière,elle m'a presque chuchoté à l'oreille: "Attendez-moi demain,je viendrai chez vous,vous me montrerez les photos,et je vous expliquerai tout". Elle ajouté: " j'ai de l'argent,vous savez?" et encore " Ne faîtes surtout rien,s'il vous plaît!".

J'ai pris un air supérieur,et constatant que je la tenais,j'ai lâché: "Ouais,on verra!". Je me suis eclipsé.

En traversant la rue,j'ai voulu jeter un dernier coup d'oeil à la villa. En me retournant,j'ai vu un homme à la fenêtre du premier étage,et qui m'observait. C'était son mari. De là où il était,il avait dû
voir ,certainement, toute la scène. J'ai pensé: "Aie,te voilà averti,mon gars".

La porte d'entrée de mon appartement m'a paru, tout à coup, très lointaine. J'ai monté les escaliers à la manière des vieux,mes jambes ne me retenaient plus. Un sentiment d'inquiétude m'avait envahi,et j'ai eu soudainement peur. " Te voilà dans un fichu pétrin!" fis-je.

Je n'ai pas vu passer le film de la soirée tant j'étais habité par d'étranges sentiments. Je pensais au mari,là-haut, à la fenêtre,et de ce qu'il pourrait décider à mon propos quand il apprendra que j'avais filmé sa femme...Je m'étais jeté de moi-même dans un sacré guêpier,et je ne savais pas comment m'en sortir. J'étais pris à mon propre piège...

En m'endormant,j'ai pensé soudainement à l'argent. "Je suis riche,j'ai de l'argent" m'avait-elle dit.
J'ai murmuré à moi-même: "Dieu décidera pour moi...Walilahi el hamd". Bonne nuit!


a mon humble avis !! le locataire tu devais faires edditer tes recits , tu auras un franc succès tu en vaux bien d'autres , j'ai l'impression de lire du "James hadley Chase" ,Ravie de vous lire !!merci la suite vite , je deviens impatiente comme les autres lol

bonjour !! super le locataire quel imagination !! et la naration est d'un style qui vous tiens en haleine ! tres bon ! la suite a quant? j'espere que la chute est a la hauteur!!
e
30 novembre 2008 22:29
bref ; je disais que cette cousine m'avait appelé car l'amie en question s'etait presenté à son domicile habillée tout en noir et tenant un livre qu'elle s'etait empressée d'ouvrir ...
la page marquée contenait une inscription en arabe reconaissable aux arabesques et aux arcs avec lesquelles certaines lettres se dessinaient sur la feuille blanche.. ma cousine surprise d'abord et horifiée de constater qu'il s'agissait d'un registre de doléances ..a rapidemant fait le lien avec le costume tenebreux de sa visiteuse , elle a cherché à en savoir plus ..
mais son amie semblait interessée bien plus par le sens de cette phrase que par son deuil ..

ma cousine parlait evidement l'arabe , mais n'a jamais apris à le lire .. c'est ainsi qu'elle a pensé à m'appeler... le fax devant moi laissait apparaitre une page où une main avait pris le temps d'ecrire avec un Diwani aproximatif :

" Bissmilahi errahmani errahim"
"Wafi essama'i rizk'okoum wama tou'aâdoun"
....
L
30 novembre 2008 22:32
J'étais transcendé,je l'avais dis. Ma peur avait disparu,et un sentiment de révolte allait la remplacer.
J'ai ouvert violemment la porte,et j'ai crié fort: "Qu'est-ce que vous voulez?"et encore plus fort" Allez
vous en!".
L'homme ne m'avait pas vu venir,ma colère l'avait tétanisé,il était sans voix. Il m'a regardé un moment
qui a semblé durer un siècle puis il a balbutié avec peine: " Je suis avocat..je suis maître L...,je
représente les interêts de madame et monsieur R...,vous savez,vos voisins qui...". Il n'est pas allé au
bout de sa phrase car je l'ai interrompu de la main,et je lui ai dis: " Et alors?"
- "Monsieur R.. voudrait réparer le préjudice que sa femme vous a causé" fit-il. J'étais interessé,ma
colère se dissipa d'un coup,et il l'avait aussitôt remarquée. Il a souri..Sa voix venait de changer,elle
redevenait entière. Il a ajouté: "Mon client veut l'autocollant avec le pictogramme de la fourrière,et le
film pris par la caméra,l'original bien sûr". Il a marqué une pause,puis il a levé les bras au ciel,le sourire large,le visage métamorphosé,il a dit: "En contrepartie,il est prêt à vous offrir une grosse
somme d'argent...qu'en dites-vous?".
J'ai cligné des yeux. Je n'ai pas écouté la suite,je n'en avais pas envie. Je pensais au fric,et de ce
que je pouvais en faire le moment voulu. Je me voyais déjà riche. Je me suis rappelé tout à coup que
l'avocait était sur le perron. Je lui ai dis: "Entrez maître" puis : "Ne restons pas là".
La femme ne m'avait pas donc menti,elle avait dit vrai. " J'ai de l'argent " m'avait-elle lancé.
La chance venait de me sourire,et je n'en revenais pas...J'allais toucher un pactole à plusieurs chiffres
sans que je n'avais rien fais,rien demandé,une aubaine pour moi qui étais constamment fauché. J'ai pensé"
A moi la belle vie!". J'étais aux anges...
Soudain,une image m'est brutalement apparue,celle de la prison,je l'avais vue plusieurs fois dans les
films. La prison était faite pour les autres,les voyous,pas pour moi. Moi,j'étais un homme pratique,il me
venait de temps en temps des idées à l'envers,mais sans plus. J'allais,je venais,je trottais dans la ville,je ne tenais jamais sur la même place mais j'avais toujours le coeur heureux,El hamdoulilah...
La prison,je le savais,je ne pouvais pas y résister,j'en mourrai...
Ma peur antérieure venait de refaire subitement surface,et j'étais très malheureux.Pour une fois dans
cette affaire,il ne s'agissait plus de ma voisine mais de moi. J'étais atterré. C'est alors qu'une idée
lumineuse traversa mon esprit. Je n'étais pas dupe,je jouais gros,j'en avais conscience mais je n'avais
pas le choix,j'étais sur le fil du rasoir.
L
30 novembre 2008 22:43
eau de source,
comment sais-tu que mon histoire est véridique?

Puisqu'il n' y a que 2 personnes (des hommes) qui la connaissent..

Et puis,j'habite dans le languedoc-roussillon.. Et la villa dont je parle me fait toujours face..

Dommage que tu veux "casser" l'histoire..

Pas gentil de ta part.
a
30 novembre 2008 22:46
le locataire il n y a pas de sang dans ton histoire meme pas un coup de fusil




je plaisante Welcome
P
30 novembre 2008 22:55
Salam,

on doit débattre sur quoi là? j'ai rien compris moody smiley c'est quoi le but du post? Le sujet du post? C'est une comptine? une blague? un roman policier? perplexe

ça fait 15 jours qu'on attend le sujet SOS
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
L
30 novembre 2008 23:06
Citation
malika_malika a écrit:
Salam,

on doit débattre sur quoi là? j'ai rien compris moody smiley c'est quoi le but du post? Le sujet du post? C'est une comptine? une blague? un roman policier? perplexe

ça fait 15 jours qu'on attend le sujet SOS


Et la liberté d'écrire et de lire,tu en fais quoi?

moi,par exemple,je ne pourrai pas indéfiniment parler de ce qui est mieux: les noisettes ou les

cacahuettes?

Laisse parler les gens...
P
30 novembre 2008 23:22
Citation
Le locataire a écrit:
Et la liberté d'écrire et de lire,tu en fais quoi?

moi,par exemple,je ne pourrai pas indéfiniment parler de ce qui est mieux: les noisettes ou les

cacahuettes?

Laisse parler les gens...

Justement, on est pas libre d'écrire tout ce qu'on veut, c'est pour ça qu'il y a une charte (Angel) c'est comme ça, c'est la vie...

Sinon je préfère les noisettes, même si c'est plus dure à ouvrir.
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
e
30 novembre 2008 23:25
Citation
Le locataire a écrit:
eau de source,
comment sais-tu que mon histoire est véridique?

Puisqu'il n' y a que 2 personnes (des hommes) qui la connaissent..

Et puis,j'habite dans le languedoc-roussillon.. Et la villa dont je parle me fait toujours face..

Dommage que tu veux "casser" l'histoire..

Pas gentil de ta part.

alors arrête de jouer les stars de la plume et continue a ecrire ton histoire si tu ne veux pas que je raconte ma verssion des faits grinning smiley

n'est ce pas les yabis???
L
1 décembre 2008 08:05
Pour mes amis,les yabis...ceux qui ont aimé me lire..

C'est désolant et frustrant. Il n' y a pas d'autre "version"

voilà 5 mois que j'habite à Narbonne ( pour mon job). J'occupe un appartement dans un petit immeuble cossu de 2 étages. La villa me fait face..Ma voisine y vit encore(elle est maintenant). Son mari est décédé ( je ne l'ai pas fais exprés).

Mes amis yabis,ceux qui passeraient par narbonne,sont les bienvenus chez moi,je les accueillerai volontiers,et à bras ouverts. Mon téléphone figure dans mon profil.

L'histoire est "cassée",je n'écrirai plus la suite.

Quant à papa,j'irai lui rendre visite l'Aid el kébir,inchallah...Je lui raconterai la suite.

Pour Arhaye,maintenant:

Papa aimerait bien t'amocher l'oeil droit,alors chiche,montre-toi pétochard!
1 décembre 2008 09:17
allez assure, abuse pas... tu crains trop Oups

pense à ceux qui sont à fond dans ton histoire (comme moi par exemple Heu). Faut pas faire attention à ce que disent les autre, c'est le suspense de ton histoire ki leur font dire n'import koi..


allez moi je veux la suite, et je suis sur ke je ne suis pa la seule.
a
1 décembre 2008 09:35
Citation
Le locataire a écrit:
Pour mes amis,les yabis...ceux qui ont aimé me lire..

C'est désolant et frustrant. Il n' y a pas d'autre "version"

voilà 5 mois que j'habite à Narbonne ( pour mon job). J'occupe un appartement dans un petit immeuble cossu de 2 étages. La villa me fait face..Ma voisine y vit encore(elle est maintenant). Son mari est décédé ( je ne l'ai pas fais exprés).

Mes amis yabis,ceux qui passeraient par narbonne,sont les bienvenus chez moi,je les accueillerai volontiers,et à bras ouverts. Mon téléphone figure dans mon profil.

L'histoire est "cassée",je n'écrirai plus la suite.

Quant à papa,j'irai lui rendre visite l'Aid el kébir,inchallah...Je lui raconterai la suite.

Pour Arhaye,maintenant:

Papa aimerait bien t'amocher l'oeil droit,alors chiche,montre-toi pétochard!




Je vois que ton papa est plus courageux donc je vais décliner l invitation

J ais pas compris ton histoire
l
1 décembre 2008 09:54
le vent du coté de narbonne rend fou grinning smiley
L
1 décembre 2008 09:58
Citation
l'européen a écrit:
le vent du coté de narbonne rend fou grinning smiley

Pas tellement...mais les blancs racistes,ils pullulent,tu comprends ce que je veux dire...
L
1 décembre 2008 10:02
Citation
Le locataire a écrit:
Citation
l'européen a écrit:
le vent du coté de narbonne rend fou grinning smiley

Pas tellement...mais les blancs racistes,ils pullulent,tu comprends ce que je veux dire...


car si un blanc,un français de souche (en plus),comme tu aimes à le répéter,avait écrit cette histoire,

tu te serais délecté. Ce n'est pas le cas.
C
1 décembre 2008 11:22
Le locataire, STP écris la suitesad smiley...je suis ta plus grande fan...grinning smiley
Non sérieux, tu as commencé tu finissmiling smiley!!! Ce serais dommage de pénalisé tes fans car certains polluent ton post!
Tant qu'il n'a pas été vérouillé, c'est ce qu'il respecte la charte!smiling smiley

Alors steuplé la suite!!!!!!sad smiley
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