Kenza Isnasni a gagné le prix de la Marocaine résidant à l’étranger de la Course féminine de la victoire, organisée par l’athlète Nezha Bidouane, le 24 avril, à Rabat. Elle a participé en tant que marraine de l’association «Le sourire des sans voix». La jeune femme, depuis le tristement célèbre assassinat de ses deux parents, à Bruxelles, en 2002, n’a cessé de se battre
Depuis cinq ans, Malika Bouziane est présidente de l’Association des parents adoptifs d’enfants recueillis par kafala. L'association est composé uniquement de parents qui ont déjà recueilli en France, dans le cadre d'une kafala, au moins un enfant né au Maroc ou en Algérie. Sa présidente a répondu à Yabiladi.com.
Une fois la procédure de kafala conclue et l’enfant confié à son nouveau tuteur, visa ou pas, la famille kafil quitte le territoire marocain et rejoint son pays de résidence. C’est le début d’une nouvelle vie : un couple trouve la joie d’être parent, l’enfant abandonné celle d’un nouveau foyer. Pourtant, les difficultés continuent sur le plan légal et aussi, parfois, affectif.
La connaissance de la langue du pays d’accueil est l’un des facteurs majeurs d’intégration des immigrés. En France, d’après des données de 1995, un immigré sur trois maîtrisait mal le français à l'écrit et l'oral, et 46% ne savaient pas l’écrire correctement. Cette tendance a depuis changé. Selon une étude de l’Institut national de la statistique et des études
Vivre aujourd’hui au Maroc avec un handicap est une chose extrêmement difficile et douloureuse. Les personnes en situation d’handicap sont totalement marginalisées et souvent privées de leurs droits essentiels à l’enseignement, à l’emploi et tout simplement à la dignité. Le handicap est souvent perçu comme une malédiction et une honte. Mais un groupe de parents d’enfants handicapés et de personnes sensibles aux problèmes engendrés par le handicap disent non à tout cela
Les salariés français descendants d'immigrés sont moins payés que ceux dont les parents sont nés avec la nationalité française, selon une étude de la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES), parue le mardi 16 février. L’écart est plus important quand s'ils descendent d'immigrés africains.
Le choix du prénom d’un nouveau-né pour les Marocains notamment ceux de l’étranger n’est pas aisé. Beaucoup de prénoms sont refusés lors de l'inscription à l'état civil marocain, au motif qu’ils font rupture avec l'identité marocaine. En ce sens, le ministère de l’Intérieur a transmis une « liste de prénoms approuvés » aux différents consulats marocains. L’interdiction qui concernait surtout les prénoms amazighs, est de plus en plus élargie aux appellations
Selon une source (très) bien informée, le chef d’un établissement scolaire français basé à Casablanca, s’apprêterait à prendre une décision qui pourrait faire grand bruit et provoquer des tensions d’ordre diplomatique entre le Maroc et la France. En effet, le directeur de cet établissement envisage sérieusement d’interdire - purement et simplement - aux mamans voilées de participer à des actions périscolaires (piscine, excursions,…) en compagnie de leurs enfants, et ce