Plusieurs voix émanant de l’échiquier politique marocain appellent tantôt à un amendement de l’article 47 de la Constitution, tantôt à la modification du mode de scrutin. Si le politologue Mohamed Darif rappelle les «coutumes constitutionnelle», Abderrahim El Allam pointe du doigt des «conflits partisans», loin de l'intérêt public.