Au Maroc, mais également en Algérie, plusieurs foyers ont été touchés par ce malheureux incident qu’est le pigment bleu-vert qui s’est déposé sur la viande de l’Aïd Al-Adha. Les deux pays ont tranché, indépendamment : c’est bel et bien une contamination bactérienne qu’est à l’origine de la putréfaction de la viande. Mais dans cette affaire, ce n’est pas le seul
Le feuilleton de la viande putréfiée n'en fini pas. Après les accusations des citoyens marocains qui ont découvert la teinte verdâtre sur leurs ovins sacrifiés pour l'aïd al-Adha, la communication approximative de l'ONSSA, voilà le tour des vétérinaires et des pharmaciens du Maroc de s'opposer sur l'origine de ce que certains qualifient de scandale sanitaire. Détails.
Les analyses sur les carcasses et de la viande putréfiée effectuées, l’ONSSA publie un deuxième communiqué de presse mercredi pour réexpliquer la teinte verdâtre de la carcasse ou sa putréfaction, signalée par plusieurs Marocains. Cette fois, ce n’est plus «le non-respect des règles d’hygiène et des conditions de conservation» seulement, mais surtout «une contamination
Au quatrième jour de l’Aïd Al Adha célébré vendredi dernier au Maroc, la viande putrifiée découverte par certains Marocains après stockage par congélation continuent de susciter plusieurs réactions. Après les explications fournies par l’ONSSA, les plaintes des consommateurs affluent selon les associations. Détails.