Un coloque international organisé par l’Académie du royaume du Maroc a porté sur la recherche dans l’Histoire du Maroc, pour en analyser le bilan et s’ouvrir sur des perspectives. Parmi les thématiques saillantes, celle de l’immigration a été abordée d’un point de vue culturel, voulu comme une porte d’entrée novatrice vers un récit migratoire historique plus élargi.
Depuis la fermeture des frontières marocaines dans le cadre des mesures préventives contre la propagation de la Covid-19, les nationaux ne sont pas les seuls à avoir été bloqués à l’étranger. Parmi les communautés installées au Maroc, celle du Sénégal compte aussi ses ressortissants qui n’ont pas pu rejoindre le royaume.
Il y a de cela quelques mois, une jeune femme a eu son visa touriste rejeté. Raison invoquée par l’ambassade des Émirats arabes unis au Maroc : son statut de jeune femme célibataire, de moins de 30 ans et non accompagnée. Une jeune marocaine qui subit à nouveau le stigmate de prostitution.