Dans la copie avancée de son rapport sur le Sahara occidental, soumise lundi dernier aux membres du Conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres a énuméré plusieurs constats quant à la situation dans les camps de Tindouf. Insécurité alimentaire, violations du Front Polisario ou encore les vagues de manifestations figurent au côté d’un appel à ne plus
Dans la copie avancée de son rapport sur le Sahara occidental, soumise lundi dernier aux membres du Conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres a abordé l’épineuse question de la surveillance des droits de l’Homme au Sahara. Son rapport fait état de «restrictions» imposées par le Maroc et qui entraveraient la mission de la MINURSO.
Profitant d’un embargo imposé par les services du secrétaire général de l’ONU sur la copie avancée du rapport annuel d’Antonio Guterres sur le Sahara, le Maroc et le Polisario mène cette semaine une guerre croisées sur le terrain de la communication, ne divulguant que les parties du document qui épinglent l’autre.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres a appelé les parties du conflit du Sahara occidental à «des gestes» pour progresser vers une solution qui «est possible», dans un rapport transmis lundi au Conseil de sécurité. Ce dernier tiendra d’ailleurs une séance ce mardi pour la présentation du rapport.