La mise à l’écart du maire de Rabat de la liste des invités VIP pour la prière du vendredi 8 avril, en présence du roi Mohammed VI était de mauvaise augure pour Mohamed Seddiki. Demain, il doit comparaitre devant la BNPJ.
Le PJD a du mal à accepter la mise à l’écart du maire de Rabat de la prière du vendredi accomplie par le roi Mohammed VI. Mais ce genre de sanction n’est pas inédit. D’autres élus locaux à Tanger, Fès, Agadir et Casablanca avaient été la cible de la colère royale avant l’actuel maire de la capitale.