Le festival du film amazigh ne diffusera pas de film en amazigh cette année, en signe de protestation contre le budget alloué par le Centre cinématographique marocain (CCM) et le ministère de la Communication. Le directeur de l’événement avait bien lancé l’alerte depuis plusieurs semaines, mais les autorités n’ont pas réagi. Le CCM rejette toute responsabilité, tandis que Mustapha El Khalfi aurait
Nouveau coup dur pour le film «Tinghir-Jérusalem, les échos du Mellah», plus d’un mois après avoir été récompensé au Festival national du film de Tanger (cf notre article). Il vient d’être déprogrammé du Festival international du film documentaire de Zagora, prévu du 29 au 31 mars prochain. Alors censure ou tout simplement déprogrammation pour difficultés financières ?
Le cinéma marocain n’a pas fini de nous surprendre. Et Anouar Moatassim non plus. A la base, chanteur de rap depuis l’âge de 14 ans et photographe, ce jeune belgo-marocain a décidé de se lancer dans la réalisation cinématographique au Maroc. A peine arrivé dans le milieu, son premier film «A l’aube un 19 février» se fait déjà remarqué. Il vient d’être sélectionné
Au départ, pays de transit pour les Subsahariens en partance pour l’Europe, le Maroc devient un pays d’immigration. Puisque le royaume ne respecte par leurs droits, ils s’unissent pour les défendre.
Elles devaient assister hier, jeudi 19 mai, à la projection du film dont elles sont les actrices vedettes, mais elles n’ont pas pu. Et pour cause, Soufia Issami et Sara Betioui ont été refoulées dès leur arrivée à l’aéroport de Nice, au sud de la France. Mystère sur les raisons de ce refoulement qui consterne le Centre Cinématographique Marocain.
Se dirige-t-on vers un nouvel âge d’or des salles obscures au Maroc ? Peut-être oui, vu les différents projets de construction de multiplex en cours dans le royaume. Dans plusieurs villes, des complexes cinématographiques sont en cours de réalisation. Cela suffira-t-il à reconquérir un public qui de plus en plus préfère le cinéma Derb Ghallef à la maison ?
Le réalisateur marocain Hamid Basket a été décoré sur ordre du président de la République italienne Giorgio Napolitano. La cérémonie s’est déroulée mercredi soir au Consulat italien à Casablanca, en présence de nombreuses personnalités italiennes et marocaines.