Depuis la nomination, en août dernier, du Russe Alexander Ivanko à la tête de la MINURSO, le Polisario tente de ménager publiquement la mission onusienne, ce qui ne l’empêche pas de confier à des associations de faire porter ses critiques à l’ONU.
Avec la flambée des hydrocarbures et des céréales, le Maroc est frappé de plein fouet par la décision du président Vladimir Poutine d’envahir l’Ukraine. Le centre américain International Crisis Group (ICG) a analysé les mesures économiques et politiques prises par le royaume pour faire face aux aléas de la guerre.
Le Maroc n’est pas sur la liste rouge des destinations internationales que les touristes russes doivent éviter. Le royaume n’était pas sur la liste des pays sanctionnés, le 7 mars, par le président Vladimir Poutine.
Dans un Policy Brief, le PCNS met en avant les stratégies du Maroc, de l’Algérie et du Nigéria visant à diversifier leurs approvisionnements en blé, contre 16 pays africains qui dépendent à 56% et plus du blé russe et ukrainien, alors que l’invasion de l’Ukraine par la Russie se poursuit.
La Russie ne partage pas le soutien de Pedro Sanchez au plan marocain d’autonomie au Sahara. Moscou estime que Madrid a subi des «pressions de certaines parties» pour qu’elle change sa position.