Dans son rapport annuel relatif à l’audit des comptes des partis politiques pour l’exercice 2018, la Cour des comptes appelle nombre de ces formations à reverser à l’Etat les aides leur ayant été allouées et qui n’ont pas été dépensées, ou encore celles relatives au financement étatique de leurs campagnes électorales.
Montants non restitués au Trésor, dépassement ou encore dépenses non appuyées par les pièces justificatives requises… La Cour des comptes a rendu cette semaine ses «Rapports relatifs au scrutin du 7 octobre 2016», dans lequel elle épingle plusieurs formations politiques deux ans après les élections législatives.
Des sites Web et des militants de droite n’hésitent pas à faire porter aux candidats musulmans de fausses accusations, dans le but de les décrédibiliser auprès de l’opinion publique, et surtout des électeurs.
414 élus épinglés par la Cour des comptes. Raison : les dépenses lors de leurs campagnes électorales lors du scrutin du 4 septembre 2015. Cette remise en cause des comptes de campagne concerne pratiquement la totalité du paysage politique marocain.
Un total de 1410 listes de candidatures a été présenté au titre des circonscriptions électorales locales et de la circonscription électorale nationale, comprenant 6.992 candidats et candidates, selon les données préliminaires provisoires recueillies au terme de la période consacrée au dépôt des candidatures
Donald Trump est encore sous le feu des critiques après la diffusion de son premier spot de campagne. Dans ce clip de 30 secondes, les équipes de communication du favori aux primaires républicaines ont utilisé des images de migrants franchissant la frontière entre le Maroc et Melilla qu'elles ont fait passer pour des "envahisseurs" mexicains à la frontière américaine. Mais un site américain a dénoncé la supercherie