Ahmed Réda Benchemsi, ancien directeur du magazine TelQuel, vient de briser une longue période de silence pour déclarer –avec beaucoup d’émotions- son soutien et sa fierté avec le mouvement du 20 février. Une position qui tranche avec l’édito de Karim Boukhari, nouveau directeur de TelQuel. L’ex magazine de Benchemsi s’est illustré dans le conformisme ces dernières semaines, alors que même Maroc
Composée de cinq formations politiques – Istiqlal, Union Socialistes des Forces Populaires (USFP), Rassemblement National des Indépendants (RNI), Parti pour le Progrès et le Socialisme (PPS), Mouvement Populaire (MP) – la majorité gouvernementale est en passe de prendre l’eau.
Au Maroc, personne ne nie l'existence de la corruption. Pire, elle est considérée comme une fatalité. Sa traduction en darija suggère la plus totale banalité. En gros, la corruption, on n'y peut rien. Au fil du temps, elle se transforme en une forme de consentement pour les uns, et de résignation pour les autres.
Alors que la crise financière menace de récession les économies les plus développées de la planète, il semblerait que l’économie marocaine soit épargnée par «le 11 septembre de la finance», selon les termes employées par la présidente du Medef (organisation patronale française) pour qualifier l’effondrement des marchés financiers.
A l’occasion de la saison haute pour le retour des marocains à l’étranger au Maroc, le Centre Régional d’Investissement de Casablanca avait annoncé deux nouvelles mesures sur Yabiladi. L’intérêt de ces deux mesures est d’accélérer le processus de création de société et faciliter l’investissement pour cette population qui doit concilier vacances et démarches administratives. Afin d’avoir plus de détails sur la démarche du CRI nous sommes allés interroger pour vous M.