Contrairement à l’assassinat de Mehdi Ben Barka, le décès du général Dlimi suscite peu d’intérêt. En vue de renverser cette tendance, le neveu de Dlimi avance en 2015 que la mort de son oncle aurait été encouragée par Washington, apparemment très méfiante de la proximité entre l’ancien n°2 des FAR et la France de Mitterrand.