Abdelmajid Tebboune n’a pas encore terminé son deuxième mois à la tête du gouvernement algérien qu’il est sèchement rappelé à l’ordre par les tenants du pouvoir. Sa politique d’ouverture en direction des migrants africains est la cible d’attaques portant les signatures du directeur du cabinet du président Bouteflika et du ministre des Affaires étrangères.
En Algérie, le gouvernement Tebboune entend s’inscrire en totale rupture avec l’exécutif Sellal. Le nouveau Premier ministre multiplie les promesses en direction de toutes les parties, y compris envers les migrants africains. Il leur promet des cartes de séjour, mais se garde d’en révéler le nombre de bénéficiaires.