Le jeune médecin honnête premier de la classe qui a fait ce métier par amour et envie d’aider et de sauver des vies, se retrouve sans y être préparé dans une atmosphère gluante et irrespirable, une fois avoir franchi le seuil de la vie active.
La formation des soignants n’a pour but que de soigner correctement les malades. Mais lorsque la compétence se monnaye, elle se raréfie. De plus, cette vision capitaliste installe une certaine médiocrité au lieu de l’excellence recherchée.
Je ne comprendrai jamais pourquoi la plupart des soignants ont adhéré, avec une facilité déconcertante, à ce comportement humiliant vis-à-vis des patients, se détachant ainsi de leur humanité et assassinant l’empathie que Dieu a créée en chacun de nous.
Le peuple ne supporte plus d’être balloté de services en services, d’attendre des lustres sur des listes d’attente, d’être détourné des hôpitaux publics vers des structures privées, ou carrément de tendre une corruption.
Dans son ouvrage intitulé «Marocaines en mâle-vie», Rachida Saqui a choisi de dépeindre, tantôt sérieusement, tantôt à travers le prisme de l’humour, divers portraits de la femme marocaine. L’écrivaine dresse ainsi une bonne vingtaine de portraits de femmes très particulières. En voici cinq.
Un journaliste du quotidien Libération est sous le feu des critiques depuis sa chronique publiée hier sur les peurs et crispations autour d'une femme voilée dans le métro. Sur Twitter, les internautes ont vivement réagi et même certains confrères du journaliste ont fait part de leur désapprobation. Réactions des uns et des autres.