Le Docteur en sciences politiques et enseignant en relations internationales, Sébastien Boussois rebondit sur les événements du 1er mai à Paris pour évoquer la montée des mouvements radicaux et la radicalisation des jeunes.
Après la décision de la Cour de justice de l’Union européenne, Bruxelles parie sur une relance des négociations avec le Maroc pour conclure un accord de libre-échange. Quant aux aspects négatifs de la décision, se rapportant au statut du Sahara, l’UE souhaite y apporter des réponses en concertation avec le Maroc, «son interlocuteur privilégié».
Le ministère de l’Intérieur a-t-il ordonné de retarder le paiement des factures de sociétés privées ? La question a été posée à la Chambre haute du parlement, en direct à la télévision, par le groupe PAM. Le département de Mohamed Hassad opte, jusqu’à présent, pour le silence.
La mesure contenue dans le projet de loi de finances 2013 sur la surtaxe des hauts revenus, continue à faire parler. Après les parlementaires, le patronat s’est élevé sans détour contre cette alternative pour la solidarité et les économistes crient à la «mascarade».
C’est devenu une tradition depuis 18 ans. Chaque année, le cabinet marocain Diorh spécialisé en Ressources Humaines dévoile une enquête sur les rémunérations des employés de plusieurs dizaines de sociétés marocaines et internationales installées au royaume. Même si en 2011 les salaires ont augmenté, cela ne va pas durer en 2012. Le Printemps Arabe a laissé des traces. Yabiladi s’est
L’énergie solaire au Maroc n’est pas seulement un marché d’avenir à grande échelle, mais peut également subvenir, à petite échelle, aux besoins de foyers individuels isolés dans le Royaume. Dans cette perspective, le leader du marché d’énergie solaire du résidentiel en France, Evasol, lance un nouveau projet d’électrification rurale en coopération avec l’Office nationale d’électricité (ONE) du Maroc et les sociétés Temasol et Isofoton Maroc.
La colère et le ressentiment sont devenus aujourd’hui les principaux traits de caractère du comportement politique dans le monde arabe. C’est que déjà le blocage est total : l’immense majorité des Arabes et des musulmans ressentent intuitivement un profond antagonisme entre les valeurs démocratiques universelles et les règles musulmanes de contrôle social.