Dans une première au niveau de Casablanca, les représentants de la mairie ont reçu, mardi 25 janvier, ceux du groupe Save Casablanca, qui rassemble plus de 320 000 membres à travers les réseaux sociaux, pour parler des préoccupations des habitants de la ville. Co-administrateur du groupe et chercheur en anthropologie urbaine, Ahmed Hamid Chitachni revient sur cette réunion qui aura des suites.
Ecrivaine et initiatrice du groupe Save Casablanca sur les réseaux sociaux, Mouna Hachim a élaboré un «Livre noir de la ville blanche», qui analyse de manière exhaustive la mauvaise gestion de la capitale économique. Plus de 200 pages montrent ces dysfonctionnements au niveau de l’espace public, de l’assainissement et des espaces verts, entre autres.
Quel point commun entre les 10 plaies d'Egypte et les 10 plaies de Casablanca ? Si on écoute de nombreux Casablancais, la réponse est évidente : l'apocalypse. La ville ogresse n'a jamais laissé indifférente ses habitants, mais ces dernières années, beaucoup de voix appellent à un peu plus de douceur pour que Casa redevienne la Blanche. Cette série d'articles propose une plongée dans les méandres d’une
Sauvez Casablanca est dormais sa principale mission. C'est une femme d'une grande intégrité qui voudrait voir son pays natal, le Maroc, à son image, un havre de paix et de l'engagement citoyen. Il s'agit de «Madame la maire de cœur» de Casablanca, l'écrivain et journaliste Mouna Hachim. Interview.