Récemment révélée, une note confidentielle des renseignements territoriaux montre que les services français portent un intérêt particulier aux opinions politiques des musulmans, dont certains sont fichés sans jamais avoir été poursuivis en justice.
Malgré l’avis du Conseil d’Etat validant l’expulsion sans possibilité de retour de l’imam marocain Hassan Iquioussen, la décision qui donne raison au ministère français de l’Intérieur serait difficilement exécutable. D’abord, le prédicateur aurait quitté le territoire de son propre gré. De plus, le laisser-passer consulaire accordé pour activer son OQTF serait suspendu.