L’affaire de l’hospitalisation de Brahim Ghali a donné l’occasion au chef du Parti populaire de critiquer la gestion des relations avec le Maroc par le gouvernement Sanchez. Pablo Casado emprunte ainsi la voie du socialiste Zapatero en 2001.
Le Maroc enfonce le clou pour mettre la pression sur l'Espagne qui a accueilli en catimini le chef du Polisario, un groupement armée qui a repris les armes contre le Maroc malgré l'accord de cessez-le-feu de 1991.