A Sidi Moumen, ce lundi 12 mars 2007 à la mi-journée, la population est encore sous le choc de ce qui s’est passé la veille au soir. Les visages sont interrogatifs, marqués, fatigués, par une nuit blanche où chacun n’a pu trouver le sommeil tant les faits ont «frappé» les esprits.