S’il est une réalité indéniable dans la pandémie qui nous est tombée dessus sans crier gare ce sont les inégalités face à cette plaie et son corollaire, le confinement.
Les mesures sanitaires imposées pour endiguer la pandémie du nouveau coronavirus impactent aussi bien les jeûneurs que les non-jeûneurs. Confinés en famille, privés de liberté et risquant de se faire démasquer à tout moment, les non-jeûneurs prennent leur mal en patience et font semblant.
Les détenus du Hirak constituent la pierre d'achoppement entre le Maroc et Amnesty International. Après un communiqué de l'ONG, la Direction des prisons a répliqué en pointant la focalisation sur certains détenus et pas les autres.