Au Maroc, les comerces et les cafés-restaurants ayant été autorisés à ouvrir après l’Aid El-Fitr pour les commandes à emporter, sont à la peine. Entre crédits qui tardent à être débloqués, mise en place des mesures d’hygiène nécessitant des fonds supplémentaires et fournisseurs plus exigeants, le «reboot» rencontre quelques bugs.