Dépendante de l’activité agricole, elle-même à la merci des conditions climatiques, l’économie marocaine devrait améliorer ses performances mais continuer de subir l’effet de ses «déficits structurels». Telles sont les conclusions d’une présentation du Haut-Commissaire au plan dévoilées mercredi, lors d’une conférence de presse sur la présentation de la situation
Le rendez-vous international des constructeurs aéronautiques accorde une place à l’industrie marocaine, au regard de ses chiffres croissants et des groupes étrangers que le royaume a su attirer.
L’industrie se taille la part du lion avec plus de la moitié des investissements approuvés. Près de 5 000 emplois directs devraient être créés dans ce secteur.
Le PIB marocain n’a augmenté que de 1,1% en 2016, enregistrant ainsi son taux de croissance le plus faible de ses dix dernières années, a annoncé hier le HCP. En cause, la campagne agricole, bien sûr, et la faiblesse du tissu productif, encore.