Le 16 février, le parlement européen a ratifié le nouvel accord agricole signé, décembre 2010, entre le Maroc et les Vingt Sept. Un protocole qui n’en finit pas de surmonter les obstacles, il sera opérationnel le 1er juillet.
Le Maroc importe chaque mois de plus en plus de produits de l’étranger. Pétrole, céréales, sucre, la liste des produits importés est longue. De l’autre côté, les exportations augmentent mais pas assez pour combler le déficit de la balance commerciale. Conséquence : le Maroc dépense plus de dollars et d’euros qu’il n’en encaisse.
«L'agriculture bio au Maroc ? Mais tout est bio chez nous !» Faux. Le bio reste loin des priorités des consommateurs et de beaucoup d'agriculteurs marocains. 175 exploitants ont toutefois reconnu le potentiel à l'export des produits bio. Un projet de loi a été lancé pour faciliter ces exportations vers l'Union européenne mais aussi pour réglementer le secteur. Positif pour les exportations marocaines et un premier pas vers une
Le Maroc enregistre une évolution de ses exportations, notamment celles de phosphates et ses dérivées qui ont presque doublées, selon l’Office des changes. Cette augmentation s'explique par la forte demande des Etats-Unis. Toutefois, la balance commerciale reste déficitaire suite à une tendance haussière des importations des produits énergétiques.
Les exportations marocaines de tomates dans l’Union européenne (UE) devraient augmenter de 74% en cette fin 2010, par rapport à la même période en 2009, selon la Fédération espagnole des producteurs de fruits et légumes (FEPEX). Si pour l’économie du Royaume ceci reste une bonne nouvelle, elle reste perçue d’un mauvais œil du côté des producteurs espagnols dont le malaise à