Khadija Rahali, journaliste venue faire son métier d’observatrice autorisée de la chose politique et publique, se souviendra probablement longtemps de cette interdiction de demeurer dans l’enceinte du Parlement, sommée comme elle le fût par un Ministre, membre du Parti de la justice et du Développement, qui, l’ayant interpellé par deux fois, l’exhorta de quitter les lieux sans délais…
Vendredi dernier, la journaliste marocaine Khadija Rahali s’est faite refouler pendant qu'elle couvrait l'élection du président de la première chambre du Parlement. Sa tenue a apparemment porté atteinte à «la horma» du parlement. Ceci n'est pas une blague.
L'arrestation d'une journaliste franco-marocaine par la police algérienne lors d’un rassemblement du Mouvement Barakat a fait les choux gras de la presse locale qui crie au complot fomenté par le «Makhzen» en vue de déstabiliser l’Algérie. Certains ont même, profité de cet incident, pour donner libre cours à leur imagination. Détails.
Tous ceux qui avaient une dent (certains y ont même laissé leur dentier) contre la monarchie marocaine peuvent remercier le prince Hicham. Grâce à ce sang bleu un peu trop porté sur le rouge –la couleur pas la boisson-, beaucoup de nos médias sur papyrus ou en mode binaire ont ouvert la boite de Pandore. Profitant de la nouvelle constitution, de courageux porte-plume ont osé critiquer un membre de la famille royale, pendant que les plus
Ikram Ghioua, une journaliste algérienne du quotidien L’Expression, a été samedi victime d'agression de la part d'un commandant de la Gendarmerie nationale. Ça s'est passé samedi, près d'Oum El Bouaghi. Détails.