Le Maroc pourrait ne plus recourir à de nouvelles opérations d’amnisties contre les auteurs de fuites de capitaux. Un objectif dont la réalisation reste toutefois suspendu à la ratification par le Parlement du décret-loi 2.18.177, adopté par le gouvernement en février 2018 et toujours bloqué à la Chambre des représentants.
Le Maroc se conforme à une loi internationale sur l’échange des données fiscales. Le texte, signé par le Chef du gouvernement, est entré en application tout de suite après sa publication au BO du 26 février.