Dans cet épisode, nous aborderons les circonstances liées à l’opération menée le 2 octobre 1955 et les faits relatifs à la période ayant suivi les négociations à Aix-les-Bains entre les autorités coloniales françaises et les partis marocains. Nous aborderons aussi la tentative de la France d’entraver le lancement de l’armée de libération marocaine.
Dans cet épisode, nous nous intéressons aux événements historiques qui s’enchaînèrent peu avant le début des batailles de l’armée de libération (2 octobre 1955).
Se fournir en armement ne fut pas des tâches les plus aisées pour l’armée de libération marocaine. En effet, ses cellules veillaient à tenir secrètes leurs actions, d’autant plus que ses membres tentaient d’obtenir le matériel nécessaire sans être soupçonnés de rouler pour les communistes et le bloc de l’Est.
Dans cette quatrième partie, nous revenons sur le début de la formation des cellules de l’Armée de libération dans le «Triangle de la mort», à Mermoucha ainsi que dans d’autres régions. Nous ferons aussi le point sur le rôle prépondérant de plusieurs personnalités dans ce processus dont Ali Boutaher Akdad et Abbas El Messaâdi.
À la fin des années 1940 et au début des années 1950, certains membres de la résistance étaient convaincus de l’échec de l’action politique. Face à la situation difficile de la résistance dans les villes, ils décident de transférer leurs opérations dans la campagne, notamment au nord du Maroc, et de lancer une nouvelle phase d’action armée, au grand dam de l’opposition des partis
Dans le second épisode de cette série historique, nous évoquons le rôle de Mohamed ben Abdelkrim el-Khattabi dans la genèse de l’Armée de libération marocaine, ainsi que les divergences entre lui et les représentants des partis politiques marocains dans le cadre du Comité de libération du Maghreb arabe.
Née au début des années 1950, l’armée de libération nationale mènera au Maroc le combat pour la libération du pays du protectorat français. Dans la première partie de cette série, zoom sur la création de l'ALN, en mettant l'accent sur la situation internationale qui prévalait à l'époque, caractérisée par la croissance des mouvements de libération dans de nombreux pays.
Le Maroc disposait, dès décembre 1955 d’un premier gouvernement conduit par M’Barek Bekkay. Ce dernier conduira un autre gouvernement avant que son cabinet ne soit remplacé par celui d’Ahmed Balafrej.
Le déclin des Almoravides fut dépeint en batailles acharnées contre l’armée de leurs successeurs, les Almohades. Cependant, peu connaissaient le rôle de Fannou bent Omar ben Yintan dans ces batailles, au cours desquelles les hommes d’Ibn Tumart ne prirent le pouvoir qu’au décès de la jeune femme sur un champ de guerre.
L'histoire de l'aéroport de Gaza, né à la suite des accords d'Oslo mais aujourd'hui en ruines, est intimement liée au Maroc.