Les autorités européennes redoublent d’efforts pour structurer le financement de l’islam, surtout lorsqu’il s’agit de rompre avec les dons étrangers, en particulier ceux en provenance d’Arabie saoudite.
Une Danoise a lancé une campagne de financement pour récompenser deux vendeurs marocains qui auraient informé la police de la présence des principaux suspects, accusés d’avoir tué deux touristes scandinaves à Imlil.
En Allemagne, des députés abordent l’idée d’une «taxe mosquée» pour le financement des lieux de culture musulman dans le pays. Pour eux, cet impôt fera barrage aux influences étrangères, notamment wahhabites.