Le retour des chalutiers européens, surtout espagnols, dans les eaux marocaines dépendent actuellement de la seule décision du Maroc. Alors que les confidences du roi Mohammed VI à son homologue espagnol à la mi-juillet semblaient marquer la concrétisation très imminente de l’accord de pêche avec l’Union européenne, les autorités marocaines vont encore faire attendre leurs pairs. Une chose qui déplait
Aucune annonce officielle pour l’instant au Maroc, mais la confidence faite par le roi Mohammed VI à son homologue espagnol - concernant sa validation de l’accord de pêche Maroc-UE - suscite un fort enthousiasme chez le voisin du Nord. Professionnels et officiels ont enchainé les réactions. Détails
Il y a à peine une semaine, le parlement marocain a ratifié l’accord de pêche Maroc-UE, permettant ainsi son entrée en vigueur dès sa publication au Bulletin officiel. De l’autre côté de la rive méditerranéenne, les pêcheurs espagnols s’impatiente. Mais, selon les autorités du pays, ces derniers pourront retourner dans les eaux chérifiennes dans les prochaines semaines.
Suite au très controversé vote négatif du parlement européen sur l’accord de pêche Maroc-UE, mercredi 14 décembre, les réactions marocaines ne se sont pas faites attendre. La colère du Maroc et de l’Espagne est palpable : le Maroc demande le départ immédiat des flottes européennes et l’Espagne une compensation financière à l’UE. Pendant ce temps, le Polisario se frotte les