Le 23 janvier, le porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères réagissait, sur un ton virulent, à des informations relayées par la presse marocaine faisant état de réfugiés syriens refoulés vers le Maroc par l’Algérie. Hier, une dépêche de la MAP sur le même sujet a, visiblement, fait sortir les autorités du voisin de l’Est de leurs gonds au point de
La guerre en Syrie attire de plus en plus de jeunes islamistes marocains. Anas Halaoui, le coordinateur du Comité national de défense des prisonniers islamistes a rejoint le terrain pour participer au "jihad" contre le régime de Bachar Al Assad, répondant à l'appel des oulémas sunnites qui ont émis une Fatwa au Caire en juin dernier. La porte-parole du Comité, Hasnae Moussaid, craint que cette décision influe sur la situation des
A Anvers, en Belgique flamande, 12 hommes viennent d’être condamnés à des peines, allant jusqu’à 12 ans de prison, pour appartenance à une organisation terroriste. Parmi eux, figurent au moins trois Marocains.
Un Marocain résidant dans la ville de Ceuta a été arrêté hier à l’aéroport de Malaga pour un prétendu lien avec un réseau terroriste irakien affilié à Al Qaïda. Le ministère de l’Intérieur espagnol présente le suspect en provenance d’Istanbul, et qui appartiendrait à une unité terroriste hispano-marocaine, comme un «risque pour la sécurité
Les autorités marocaines seraient-elles en train de réviser leur position vis-à-vis des projets de combattants en Syrie ? Les arrestations, opérées hier dans plusieurs villes du royaume, d’une vingtaine de personnes attestent de cette nouvelle tendance.
A défaut d’avoir pu s’imposer comme acteur dans la crise syrienne, le Maroc est pressenti pour jouer un petit rôle dans l’opération de destruction des armes chimiques de Damas. Washington serait en discussion avec Rabat en vue d’autoriser des navires danois et norvégiens transportant le stock létal syrien à accoster dans des ports marocains.
Les jihadistes en Syrie sont visiblement fans de la cuisine marocaine ou du moins sans le savoir. En tous cas, à Idleb, certains de ces combattants anti-régime ont eu droit, pendant une dizaine de jours, à de la nourriture préparée avec l’aide d’une Marocaine, en réalité journaliste infiltrée.