Selon la presse belge, le Maroc serait tout proche de devenir un partenaire de la Belgique pour les adoptions. Des précisions s’imposent toutefois, lorsqu’on sait que les deux pays ont des conceptions différentes sur la question. Les principaux bénéficiaires devraient être les familles marocaines en Belgique, désireuses d'adopter un enfant de leur pays d'origine.
Depuis cinq ans, Malika Bouziane est présidente de l’Association des parents adoptifs d’enfants recueillis par kafala. L'association est composé uniquement de parents qui ont déjà recueilli en France, dans le cadre d'une kafala, au moins un enfant né au Maroc ou en Algérie. Sa présidente a répondu à Yabiladi.com.
Autrefois tabou, car elle traduisait immédiatement l’infertilité d’un couple considérée comme «hchouma», l’adoption a fait son chemin. Si, au sein de la société maghrébine en général et marocaine en particulier, elle se heurte encore à certaines conceptions traditionnelles, l’adoption est pleinement entrée dans les moeurs occidentales. Les Marocains résidant à
Une fois la procédure de kafala conclue et l’enfant confié à son nouveau tuteur, visa ou pas, la famille kafil quitte le territoire marocain et rejoint son pays de résidence. C’est le début d’une nouvelle vie : un couple trouve la joie d’être parent, l’enfant abandonné celle d’un nouveau foyer. Pourtant, les difficultés continuent sur le plan légal et aussi, parfois, affectif.
Nouveau rebondissement dans l’affaire de la mort de Younès Jratlou, dont le corps avait été retrouvé dans une rivière à la frontière franco-belge le 10 novembre 2009. Alors qu’une précédente enquête n’avait pu élucider les circonstances du décès du petit marocain de 4 ans, on apprend que ces parents viennent d’être inculpés pour «coups et blessures volontaires
La Kafala, procédure de prise en charge d’un enfant abandonné, en vigueur au Maroc, n’est pas reconnue dans certains pays européens comme une adoption au sens européen du terme. Ainsi, de nombreux Marocains se retrouvent confrontés à l’impossibilité d’obtenir un visa pour les enfants adoptés sous Kafala. C’est ce qui est arrivé récemment à un couple marocain résidant en
Dans le cadre du projet de création d'un point d'accueil des enfants des rues au Maroc, l'association KeepSmiling organise une troisième édition de «L'Aftour work solidaire». L'évènement se déroulera le 3 septembre à Paris, dans le 11ème arrondissement.
Vivre aujourd’hui au Maroc avec un handicap est une chose extrêmement difficile et douloureuse. Les personnes en situation d’handicap sont totalement marginalisées et souvent privées de leurs droits essentiels à l’enseignement, à l’emploi et tout simplement à la dignité. Le handicap est souvent perçu comme une malédiction et une honte. Mais un groupe de parents d’enfants handicapés et de personnes sensibles aux problèmes engendrés par le handicap disent non à tout cela
Le choix du prénom d’un nouveau-né pour les Marocains notamment ceux de l’étranger n’est pas aisé. Beaucoup de prénoms sont refusés lors de l'inscription à l'état civil marocain, au motif qu’ils font rupture avec l'identité marocaine. En ce sens, le ministère de l’Intérieur a transmis une « liste de prénoms approuvés » aux différents consulats marocains. L’interdiction qui concernait surtout les prénoms amazighs, est de plus en plus élargie aux appellations