La diplomatie marocaine brille par son improvisation. Ce lundi, Mezouar annonçait, non sans enthousiasme, son déplacement en France. 48 heures plus tard, le voyage est annulé sans donner d’explication. Retour brutal à la case départ.
Cinq jours après qu’Al Oula et 2M aient présenté Abdelfattah Al Sissi en tant que «leader des putschistes», l’ambassadeur du royaume dans ce pays arrive à Rabat. Le silence du ministère des Affaires étrangères laisse la porte ouverte à toutes les interprétations y compris le rappel. En Egypte, les médias locaux, n’ont pas encore reçu l'autorisation de commenter ce départ.
Une professeure de philosophie d'un lycée de Youssoufia a été virée de son poste après avoir publié sur Facebook des photos d'elle, jugées compromettantes. C'est une photo en particulier, la montrant un verre de vin rouge à la main, qui aurait déclenché les foudres du directeur de son établissement. Après avoir été interrogée par les policiers, une enquête a été ouverte
Le chef du gouvernement a une position bien particulière sur ce qui s’est passé le samedi 13 décembre au complexe sportif Moulay Abdellah de Rabat. Il a estimé que les flaques d'eaux qui ont submergée la pelouse, «grâce à Dieu, n’est pas une catastrophe naturelle».
Hier au Grand stade de Marrakech, les spectateurs ont conspué le ministre de la Jeunesse et des Sports à cause du scandale du complexe de Rabat. Si le gouvernement n’a pas encore réagi à cette affaire, une autre polémique touche cette fois le Parlement et Mohamed Ouzzine.