«En ordonnant la dissolution d’une association aussi dynamique, l’Etat est en train de détruire l’un des rares relais qui peuvent l’aider à combattre le radicalisme». Tel est le constat formulé par la journaliste et éditorialiste marocaine Nadia Lamlili qui revient, dans cette tribune, sur le verdict prononcé fin décembre par le tribunal de première instance de Casablanca, ordonnant la dissolution de
Le roi Mohammed VI n’a pas tardé à réagir à l’appel à l’aide d’une maman française souhaitant récupérer ses deux filles, actuellement au Maroc. Les petites, âgées de 2 ans et de 4 ans, étaient sur le point de partir avec leur père en Syrie, avant qu’il ne soit arrêté à l’aéroport de Casablanca.
L’affaire du ressortissant espagnol, condamné au Maroc à 30 ans de prison pour les viols de 11 enfants avant d’être gracié ce mardi par le roi, continue de faire scandale au Maroc. Pendant que le débat s’amplifie sur les réseaux sociaux, d’autres voix s’élèvent contre les autorités marocaines, accusées d’avoir laissé filer un pédophile de plus de ses prisons. Retour sur les
Le verdict est tombé lundi soir. Les deux jeunes marocains, surpris selon la police en «flagrant délit d’homosexualité» dans une voiture, ont été condamnés à quatre mois de prison par le tribunal de Témara. Les deux hommes assurent pourtant n’avoir rien fait d’illégal.
Le Maroc a aboli de fait la peine de mort, mais elle reste inscrite dans son Code pénal. Le royaume dit adopter une démarche progressive dans l’abolition de la peine capitale. La réforme pénale en cours prévoit de soumettre toute condamnation à la peine de mort à l’unanimité d’un collège de juges. Un pas important mais insuffisant, dixit les abolitionnistes.