D’après la même source, lesdits travaux ont été entrepris "sans autorisation préalable des autorités" et réalisés par un groupe d'ouvriers non-qualifiés. Résultats : un ouvrier tué et trois autres blessés.
Construit en 1994, le lieu de culte avait fait l'objet le 23 février 2010, d'un constat du comité technique local. Mais aucun défaut technique justifiant une réparation n’avait été relevé, a précise le communiqué. Une enquête a été ouverte pour "déterminer les responsabilités et les circonstances " de cet accident, a ajouté le ministère.
Vue de la mosquée après l'effondrement