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Breve

Affaire Lamjarred : Étonnante succession de rétropédalages des parties marocaines

Publié
Mohamed Amine Sbihi, ministre de la Culture. / DR
Temps de lecture: 1'

Après l’emballement et les déclarations intempestives qui ont suivi l’arrestation de Saâd Lamjarred, l’heure est au rétropédalage pour certains proches du dossier. Après le démenti du ministre de la Culture, Mohamed Amine Sbihi, des propos qu'il aurait confiés à un journaliste du site d'information Le360, c’est au tour de l’avocat marocain du chanteur, Brahim Rachidi, de nier avoir dénoncé, dans une déclaration écrite, une «machination algérienne».

Néanmoins, avec les mêmes éléments de langage, Me Rachidi maintient toujours la thèse d’un «piège tendu» à son client. Par qui ? Là, l’ancien député de l’USFP préfère le silence. Un silence que partage également la mère du chanteur, l'actrice Nouzha Regragui, qui dit se plier à «des instructions d’en haut» alors qu'elle multipliait les déclarations dans la presse.

La succession de tous ses revirements n’est pas fortuite. On peut y voir une volonté de contrôler la précipitation du départ pour mieux travailler en coulisse. Une décision sage pour ne pas s'attirer les foudres de certains milieux dans la magistrature en France.

Article modifié le 2016/10/28 à 16h24

Affaire de moeurs
Auteur : ma3te
Date : le 28 octobre 2016 à 18h30
Mais qui est ce personnage pour qu'on lui lèche autant les fesses... Si il est coupable qu'il paye comme tout le monde... on dirait que c'est un mécène qui éradique la pauvreté la manière dont vous le défendez au Maroc... C'est infâme
La justice en France ne joue pas la séquence émotion.
Auteur : chakib61
Date : le 28 octobre 2016 à 17h14
Les figurants vont attendre le nouveau scénario et surtout le nouveau script.
Et tout a fait sérieusement, le juge a crié : silence ou je fais évacuer la salle. !!


Dernière modification le 28/10/2016 17:16
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