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Mustapha Ramid contre Mohamed Hassad : La colère de Ramid est passagère, estime Abdelilah Benkirane

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Mustapha Ramid, ministre de la Justice et des libertés et Mohamed Hassad, ministre de l’Intérieur. / DR
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La colère de Mustapha Ramid serait «passagère». C’est du moins ce que laissent entendre les propos du chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, prononcés ce matin à Rabat à l’occasion d’une réunion interne du Parti de la justice et du développement (PJD). Ce dernier a attribué le commentaire de son «frère» sur les réseaux sociaux à la «succession de cas de restrictions survenus durant les dernières semaines», rapporte le site d'actualité de la Lampe.

Et de citer notamment la «marche suspecte organisée à Casablanca» et les «restrictions» qu’aurait subies un candidat de la formation islamiste à Taounat, «un ami personnel de Ramid», qui seraient à l’origine de son retrait de prendre part aux élections législatives.

S’adressant aux journalistes, Abdelilah Benkirane leur a conseillé d’éviter de trop spéculer sur une «démission» du ministre de la Justice et des libertés ou de la commission du suivi des élections.

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