France : L’AMGE organise les Journées de la Jeunesse Marocaine

L’Association des Marocains aux Grandes Ecoles (AMGE) organise du 27 au 29 mai prochain à Paris, la 9ème édition des Journées de la Jeunesse Marocaine, indique l’association dans un communiqué parvenu à Yabiladi. Grands chantiers économiques du Maroc, place des jeunes dans les projets de développement, élections législatives ou encore retour des compétences marocaines à l’étranger, autant de thèmes qui seront abordés lors de ces journées placées sous le thème «une jeunesse qui se distingue». Au menu de ce programme de 3 jours, 25 intervenants participeront à 10 événements comprenant des conférences, tables rondes, débats et interviews.

L’interview-vérité de cette année recevra le 27 mai, Mohammed Sajid, SG de l’Union constitutionnelle (UC) dont l’intervention sera suivie de la projection du court-métrage «Houkkak» suivi d’un débat sur les «50 nuances de Marocain». Le lendemain, Oumayma Ajarrai et son groupe OnOrient contera la «Rihla» aux participants avant que la conférence sociale ne lance le thème «Baraka ! Les jeunes donnent de la voix». La conférence économique quant à elle portera sur le thème «Plan Noor, Casablanca Finance City, Tanger Med … et les jeunes dans tout ça?». Le dimanche, une autre conférence abordera les «Relations Marc-Afrique» puis la conférence politique évoquera le thème : «Elections, piège à jeunes ?».

«Ouvrir le débat et promouvoir l’échange d’idées a toujours été un des objectifs de l’Association des Marocains aux Grandes Ecoles (AMGE-Caravane) [...] Décortiquer l’actualité, parler sans ambages et interpeler les consciences, telles sont les lignes directrices de cette IXème Edition des Journées de la Jeunesse marocaine qui met à l’honneur "une jeunesse qui se distingue". Au moyen de tables rondes, de conférences et d’interviews, ce colloque se veut une agora moderne qui rassemblera des jeunes marocains soucieux de l’avenir de leur pays et désireux de participer à son développement car, après tout, le débat et le dialogue ne sauraient être l’apanage d’une classe sociale ou d’une tranche d’âge», résume Saad Jamal, président de l’AMGE.