Accident d'autocar : Le ministre du Transport réagit

Par El Hadji Mamadou Gueye

Publié Le 14/04/2015 à 18h39

Temps de lecture: 1'

Le ministre du Transport Abdelaziz Rabbah a réagi mardi à l’accident meurtrier (34 morts) qui s’est produit vendredi dernier à Tan-Tan lors de la séance des questions au gouvernement à la Chambre des représentants. Pour Rabbah, ce n’est pas le moment de formuler des accusations dans le seul but pour certains de régler leurs comptes avec le gouvernement. Il faut respecter le deuil des familles des victimes et attendre les conclusions de l'enquête.

Le ministre a aussi expliqué que l’accident n’est pas dû à l’état de la route et que le chauffeur qui conduisait le bus était expérimenté. Il a en outre rappelé qu’un projet de rénovation de cette route a été déjà arrêté par le gouvernement et qu’il sera bientôt lancé.

Le ministre a aussi souligné que le nombre de morts sur les routes marocaines a baissé, malgré l’accident meurtrier de Tan-Tan.

Accident_d'autocar Aziz_Rabbah accident_de_la_route routes morts

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Voir 2 commentaires

Criminel

Auteur : viva morocco
Date : le 15 avril 2015 à 15h03

C'est tout simplement un crime contre le pays de laisser faire.
Les Pseudos politiciens pourris et incompétents doivent démissionner et disparaître du paysage !
Comment peut on mentir sur les vraies raisons qui créent ce chaos,alors que des gens roulent tous les jours sur des routes défoncées,qu'une majorité de marocains méprise jusqu'aux règles et les Lois élémentaires pour vivre ensembles!!!
Qu'ont fait les gouvernement,depuis des décennies, pour lutter contre cette situation, devenue endémique!

Dernière modification le 15/04/2015 16:02

Routes tueuses

Auteur : Hamza
Date : le 15 avril 2015 à 13h07

Les persmis délivrés sans aucune vraie formation, parfois vendus . L'état des routes, l'irresponsabilités des conducteurs, le non respct du code de la route font du Maroc un pays dont les routes sont très meurtrières.

Une véritable guerre intérieure: morts, handicapés, qui engendrent souffrances, veuves et orphelins. Sans compter un coût insupportable et prohibitif pour la société marocaine.